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Votre Guide pour un Mode de Vie
Respectueux de la Planète

Découvrez une multitude d'astuces simples et pratiques pour adopter un mode de vie plus écologique et contribuer à la préservation de notre planète. Rejoignez le mouvement pour un avenir plus vert dès aujourd'hui !

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Plantes dépolluantes
Nos intérieurs sont devenus toxiques avec les matériaux utilisés pour le bâtiment, les revêtements, les meubles, les produits d’entretien… Mais les plantes sont capables d’absorber, par un échange gazeux par les feuilles puis une transformation des substances nocives en matière organique avec ses racines !
 
Ces plantes sont souvent déjà dans nos maisons et bureaux :
  • La Fougère : l’une des plus efficaces pour dépolluer l’air. Elle élimine la plupart des substances provenant des produits d’entretien et du mobilier.
  • Le Ficus : absorbe principalement le formaldéhyde, le xylène et l’ammoniac présent dans les détergents.Il agit sur la fumée de cigarette, les désodorisants ou encore les vernis.
  • Le Philodendron : absorbe principalement le formaldéhyde et le pentachlorophénol, composant des matériauxpour le mobilier mais aussi la colle, les vernis et produits ménagers.
  • L’aréca : Il absorbe très bien le xylène et le formaldhéhyde.
  • Le calathea : avec son feuillage unique et original, il purifie l’air.
  • L’anthurium : absorbe de nombreuses substances chimiques comme l’ammoniaque, parfait pour une cuisine ou salle de bains.
  • Le dieffenbachia : a l’avantage d’humidifier l’air lorsqu’il est trop sec, très utile lorsqu’il y a une climatisation.
  • Le dracaena : absorbe le formaldéhyde et le benzène, que l’on retrouve particulièrement dans la fumée de cigarettes.
  • Le croton : absorbe le le formaldéhyde.
  • Le spathiphyllum : absorbe les composés présents dans les vernis, plastiques, peintures et autres matériaux dans le mobilier.
  • Le cycas : dépollue du xylène et du toluène présents dans les peintures, vernis, encre mais aussi les colles, parfums et désodorisant chimiques.
  • Le clivia : piège efficacement les particules chimiques présentes dans l’air.
  • Le lierre : absorbe le toluène, le trichloréthylène, le formaldéhyde, ainsi que le monoxyde de carbone.
  • L’azalée : absorbe l’ammoniac qui se trouve dans les produits d’entretien.
  • Le Chrysanthème : absorbe le trichloréthylène des solvants (qui, heureusement tendent à disparaître)
  • Le chlorophytum : absorbe le l’excès de monoxyde de carbone.
  • Le sansevieria ou langue de belle mère : absorbe le benzène
  • Le caoutchouc…
 
Pour limiter la pollution de l’intérieur, aérez très régulièrement les pièces de votre maison ou de votre appartement.
 
Article écrit par Sylvie Fillot
Sources:
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Séchoir solaire
Quand le potager produit plus que ce que vous ne pouvez consommer, pourquoi ne pas conserver vos fruits et légumes en les séchant ?
Conserver les aliments peut aussi être utile pour répartir leur utilisation tout au long de l’année.
Une alternative qui peut être intéressante aussi pour les agriculteurs ?
Pour cela il existe plusieurs moyens : la fermentation, la déshydratation, le séchage… c’est cette dernière technique qui nous intéresse !
Quelques règles à respecter :
  • La température à 39° est optimale pour garder les nutriments (maximum 50° pour ne pas cuire les aliments)
  • Pas de rayons UV directement sur les aliments pour préserver les minéraux (séchoir solaire “indirect”, la version “directe” existe aussi)
  • Une aération constante
  • Séchez les aliments dès leur récolte, en éliminant ceux qui sont trop mûrs ou abîmés
  • N’utilisez pas de matériaux traités (bois de récupération, plastique) qui pourraient dégager des vapeurs toxiques avec la chaleur : préférez du bois non traité, du verre, du métal
  • Coupez en lamelle les aliments trop gros
  • Conservez ensuite les aliments dans une boîte hermétique, de préférence dans un lieu sec et frais
  • Notez la date : ils seront consommables pendant un an !
Bonus : les saveurs sont accentuées !
 
Process :
  • L’air frais et sec arrive par le bas, chauffe grâce au soleil, l’air chaud et humide ressort par le haut.
  • Vérifiez la température avec un thermomètre à l’intérieur (posez une ombrière en cas de surchauffe)
  • Une couleur sombre à l’intérieur aide à produire de la chaleur
 
Quelques idées d’aliments à sécher :
Les Fraises, Bananes, Ananas, Citrons, Oranges, Figues, Tomates, Poivrons, Champignons, Courgettes, Carottes, Ail, Oignons, Haricots, Aubergines, Galettes de graines germées…
 
Pour les viandes et les poissons, veillez à prendre des soins supplémentaires car beaucoup de bactéries se développent sur la viande fraîche avant qu’elle n’arrive au terme du séchage. Prenez donc soin de bien désinfecter le séchoir.
 
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image :
 
Article écrit par Sylvie Fillot
 
Sources :
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Cire de carnauba
La cire de carnauba est utilisée dans des domaines très différents et si vous la connaissez déjà, elle peut encore vous surprendre pour l’étendue de ses utilisations.
 
La cire de carnauba est obtenue à partir des feuilles du palmier Copernicia Prunifera qui pousse au Brésil. C’est une des cires les plus stables, la plus dure et la plus résistante des cires végétales. Les principales vertues de sont sa haute résistance à la chaleur, avec un point de fusion particulièrement élevé (80*), son effet imperméabilisant, et protecteur.
 
Naturelle, saine : elle est utilisée (E903) dans l’alimentation. Elle ne présente aucun risque pour la santé, et est considérée végan. Elle est utiisée en agriculture biologique (dans sa version biologique)
 
Mais ça n’est que le début, voici les effets de la cire de carnauba :
  • Fait briller de manière étincelante (les carrosseries, les cheveux, le sol )
  • Protège du dessèchement (sur la peau, des aliments, le bois, les cheveux ternes, le cuir)
  • Conserve les couleurs (des pommes, et des voitures, les veinages du bois)
  • Épaississante (pour les préparation de savon, de maquillage, de shampoing…)
  • Anti aglomérante (utilisée pour les bonbons, le mascara et le rouge à lèvre)
  • Nourrissante (du bois ciré ou brut, les tomettes… avec de la cire d’abeille)
  • Anti UV (protège la fibre de verre, les métaux, toute surface peinte ou vernie, en particulier sur les bateaux, agréssés par le soleil et le sel !)
  • Hydrofuge (le béton brut ou ciré, le bois brut ou ciré, terre cuite, carrelage, lino…)
  • Antistatique (pas de poussière, pas de ménage !)
  • Façile d’utilisation: appliquer d’abord sur le tissus puis sur la surface, en fine couche, attendre que ça soit sec pour frotter avec un mouvement circulaire et léger.
  • Peut être appliqué sur des surfaces mouillées et sèches
  • Sans odeur,
  • Peut protéger pendant un an !
 
Article écrit par Sylvie Fillot
 
Sources
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Marmite norvégienne
Utiliser une marmite norvégienne est une méthode de cuisson économique car on utilise moins de gaz. Le principe est de réduire les pertes de chaleur, et la cuisson peut se poursuivre sans apport d’énergie supplémentaire.
Il vous faut :
  • Une marmite de préférence en fonte, qui garde bien la chaleur.
  • Un carton, une glacière souple ou en dur, dans lequel la marmite peut rentrer.
  • Une matière isolante comme le liège, du journal, ou des sacs isothermes.
  • Une matière isolante qui supporte les températures élevées comme une couverture en laine ou coton, pas de polaire synthétique.
  • Un tissu coton pour entourer la marmite (facile à laver).
  • Une planche en bois pour y poser la marmite bien droite au fond de la boîte choisie.
Action !
  • Chauffez votre plat à mijoter 15 mn à petit bouillon, bien garder le couvercle fermé tout le temps.
  • Remplissez la boîte de matière isolante, puis de la couverture,
  • Puis la planche avec la marmite entourée du tissu en coton,
  • Fermez la boîte et entourez-la d’une couverture (là ok pour du synthétique).
  • Partez en toute sécurité, à votre retour 2, 3 h après, votre plat mijoté est prêt et chaud !
Saumon au lait de coco : 10 mn sur le feu, 2 à 3 h en marmite norvégienne.
Riz complet aux légumes : 15 mn sur le feu, 2 à 3 h en marmite norvégienne.
Astuces pour cuire plus rapidement :
  • Pour les légumineuses, céréales, riz, féculents : laisser tremper dans l’eau froide 12 à 48 h avant,
  • Pour les légumes, coupez-les en petits morceaux.
  • Pour les plats avec viande, après les 15 mn sur le feu, et les 2 h de marmite norvégienne, remettre le plat sur le feu 5 à 10 mn, et remettre dans la boîte magique : la marmite norvégienne !
On peut comparer la marmite norvégienne au concept de maison passive : une maison passive est un bâtiment bien isolé ou aéré, qui ne requiert que peu d’énergie pour le chauffage ou le refroidissement.
Article écrit par Sylvie Fillot
Sources :
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Légumes fermentés
Les techniques de fermentation existent depuis 10 000 ans pour conserver les aliments. Ces techniques ont l’avantage de conserver les aliments, et de préserver les nutriments, mais aussi de renforcer la flore intestinale avec les probiotiques contenus dans les légumes fermentés.
À part les pommes de terre, qui contiennent trop d’amidon, la plupart des légumes peuvent se fermenter.
Choisissez des bocaux en verre avec couvercle hermétique (joint en caoutchouc au mieux, sinon le couvercle à vis est ok) que vous aurez ébouillanté pour les stériliser avant de les remplir.
Utilisez 30 g de sel non raffiné sans aucun conservateur, (qui donnerait un mauvais goût à votre bocal) pour 1 litre d’eau sans chlore (filtrée ou eau de source)
Coupez, rapez les légumes nettoyés. Tassez les légumes et aromates au fond du bocal, ajoutez l’eau salée en couvrant bien les légumes, laissez 2 cm d’air, fermez hermétiquement. Gardez le bocal dans une zone aux alentours de 20°, pas trop chaude.
Au bout de 15 jours, un mois, dégustez vos légumes ! Si vous n’êtes pas pressés, il se conservent un an sans ouvrir le bocal.
Il est conseillé de consommer les légumes lacto–fermentés le plus régulièrement possible mais en petite quantité. Au début, vous pouvez commencer par une cuillère à café, puis jusqu’à 1 à 2 cuillères à soupe par jour maximum.
Si l’odeur vous semble désagréable, c’est que de l’air s’est invité, le bocal a été ouvert, dommage… ne les consommez pas.
La lacto fermentation est le seul processus capable d’augmenter la valeur nutritive des aliments : vitamine K, B12… devenus rares dans les aliments agricoles.
Article écrit par Sylvie Fillot
Sources :
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Bélier hydraulique
Le bélier hydraulique est une pompe de relevage qui n’utilise pas d’autres énergies (électrique par exemple) que celle de la force motrice de l’eau. Concrètement cela permet de pomper l’eau d’une source plus basse que l’emplacement de son utilisation. Peu coûteux, automatique, sans électricité, sur une longue durée (plusieurs dizaines d’années : ne pas utiliser de matière plastique qui s’usent très rapidement.) sans aucun entretien autre que les soins de propreté, et le changement des pièces due à l’usure inévitable des pièces mobiles. Le bélier hydraulique s’adapte aux débits et aux hauteurs voulues.
Le système :
  • L’eau arrive avec la pression de sa descente,
  • Cela provoque la fermeture de la soupape primaire.
  • La pression produite (coup de bélier) entraîne l’ouverture du clapet interne.
  • L’eau emprisonnée sous pression dans le ballon n’a d’autre choix que de se vider dans la canalisation de refoulement jusqu’à équilibrage des pressions (déterminée par la hauteur du conduit).
  • L’inversion des pressions referme le clapet interne.
  • La pression chute, la soupape primaire s’ouvre à nouveau. Un nouveau cycle commence…
À vous de jouer !
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Exemple pour le cas d’un bélier dimensionné en 26/34
Article écrit par Sylvie Fillot
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Sources :
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Énergie mécanique d’un pédalier
Utiliser l’énergie mécanique d’un pédalier a beaucoup d’avantages, entre autres : limiter sa consommation électrique, et faire un peu d’exercice physique !
Un pédalier peut alimenter “entraîner” un blender, une machine à coudre, une génératrice d’électricité pour recharger des batteries et alimenter téléphone, une perceuse à colonne qui sert de perceuse, meuleuse, ponceuse et tour… on peut y connecter un nombre infini d’outils.
Vous aurez besoin :
  • Un pédalier
  • 2 Poulies (dont une roue de vélo sans pneu ?)
  • 2 Courroies (dont une chaîne de vélo)
  • 1 table et 1 chaise dédiée
  • Visserie, tasseaux, contreplaqué, planches de palettes…
Le système : les pédales entraînent une poulie, qui entraîne la deuxième poulie qui entraîne à son tour l’objet souhaité.
  • Récupérer un moyeu (centre de la roue avant de vélo ?), fixer une poulie de chaque côté
  • Fixer solidement le moyeu (sur un bloc de bois, fixé à une table?)
  • La poulie de transmission 1 sera entraînée par une courroie reliée au pédalier
  • La poulie de transmission 2 entraînera l’outil souhaité avec une autre courroie (une par objet souhaité)
Vous pouvez utiliser un vélo dont vous ne vous servez plus, et le fixer au sol, ou un vélo d’appartement déjà fixe ?
Les courroies : en mode récup ! celle d’un vélo, vieille tondeuse… ou une sangle de fixation bien solide ?
La distance entre le pédalier et l’assise doit permettre d’avoir la jambe dépliée
Les mains du “cycliste” doivent pouvoir manipuler aisément les outils
Installer une assise confortable, un siège avec dossier (ça doit rester un plaisir !)
À vous de jouer !
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Article écrit par Sylvie Fillot
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Sources :
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Réduire ses déchets
Il y a beaucoup de façons de réduire ses déchets. Voici une petite liste de nouvelles habitudes à mettre en place, pour y arriver selon votre rythme, votre manière de vivre…
À mettre en mémo bien en vue : les 5 R
  • Refuser : reconnaître le non essentiel et le refuser.
  • Réduire : lorsqu’il n’est pas possible de refuser, il est possible de réduire.
  • Réutiliser : éviter le jetable, réparer, raccommoder, ou réutiliser autrement.
  • Rendre à la terre : composter les biodéchets.
  • Recycler : quand il n’y a pas d’alternatives, essayer de recycler.
  • Favoriser le vrac et le sans-emballage (savon à la place du gel douche, lessive maison…)
  • Fuir le sur-emballage
  • Composter ou lombricomposter voire si possible prendre des poules.
  • Si on a un jardin (et la main verte…) faire son potager.
  • Utiliser des contenants réutilisables : favoriser le verre, et réutiliser ceux que l’on a déjà plutôt que d’acheter.
  • Remplacer le jetable (essuie-tout, mouchoirs en papier : la consommation d’eau engendrée par le lavable ne dépasse pas celle nécessaire à la fabrication du jetable…)
  • Boire l’eau du robinet plutôt que celle en bouteille (si dans une zone où l’eau du robinet est saine)
  • Faire soi-même le maximum de choses, à commencer par la cuisine.
  • Revendre (ou donner) ce qu’on n’utilise pas et qui est en état correct.
  • Réfléchir avant d’acheter un produit (en ai-je vraiment besoin ? Puis-je l’avoir en seconde main?)
  • Chercher les alternatives sans plastique : les brosses à dents par exemple, existent en version bois ou bambou, le tube de dentifrice peut être remplacé par du dentifrice solide…
  • Les sacs poubelle en plastique : préférez un carton entre votre poubelle de cuisine et votre poubelle de la mairie !
Article écrit par Sylvie Fillot
Sources :
  1. https://colibris-universite.org/mooc-zerodechet/?I1Bienvenue
  2. https://www.greenpeace.fr/zero-dechet-13-astuces-tres-simples/
  3. https://www.zerowastefrance.org/passer-a-l-action/adopter-zero-dechet/
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“slow” attitude
C’est quoi la “slow” attitude ? On la retrouve dans tous les domaines : l’économie, les technologies, l’alimentation, l’agriculture…
Dans un monde qui va toujours plus vite, qui produit plus, les déchets s’accumulent, l’obsolescence programmée commence à revenir cher, alors la qualité commence à prendre le dessus sur la quantité, et la notion de vitesse perd des points…
C’est en 1986 que Carlo Petrini, critique gastronomique, remet en question le fast food, et prône la “slow food” par une agriculture moins intensive qui protège la biodiversité, et la santé des consommateurs.
Le mouvement est symbolisé par un escargot et compte 100.000 adhérents et 1 million de supporteurs dans 160 pays. Produire et consommer local, acheter en direct aux producteurs artisanaux, la notion de permaculture, à la fois production agricole durable et économe en énergie, devient une évidence.
Produire moins et mieux s’oppose au tout jetable.
La “slow tech” émerge également, luttant contre l’hyper connectivité, et le syndrome Fomo, cette envie d’être informé immédiatement, qui nous pousse à regarder notre téléphone et les chaînes de news permanentes… le mouvement veut nous réapprendre à dialoguer et à vivre ensemble.
La “low-tech,” l’inverse de la high tech, met en avant le besoin de produire plus simplement, avec une meilleure gestion de l’énergie, et produire localement, soi-même avec des méthodes artisanales, en réutilisant les matériaux. Des plateformes collaboratives apparaissent de plus en plus, vers une autosuffisance.
En entreprise aussi, le “slow management” veut éviter l’hyper-productivité, et laisser au travail le temps d’être bien fait, avec plus d’écoute, de dialogue entre collaborateurs. Des responsables du bien-être se multiplient : le yoga, la méditation, les massages prennent place dans les entreprises.
De nombreuses études récentes montrent qu’un travailleur qui prend son temps est finalement plus efficace.
Le “slow made”, lancé en France le 22 novembre 2012, propose une charte composée de six valeurs : la recherche, le geste, la pratique, la transmission, l’appropriation et le prix juste.
La “slow money” est aussi d’actualité : ce mouvement né aux États-Unis en 2009, veut financer de petites entreprises locales qui produisent une nourriture de qualité.
Aller toujours plus vite pour gagner du temps, c’est vrai qu’il y a une contradiction quelque part.
Le temps devient une richesse précieuse, la qualité prend le dessus sur la quantité.
La “slow attitude” prend de l’ampleur pour le bien de tous : vers le ralentissement de notre rythme de vie, l’adoucissement des pressions modernes et l’appréciation des choses simples. La “slowlife” devient un art de vivre, pour notre épanouissement et pour protéger la planète, sans pour autant tomber dans l’inaction, source de dépression, mais plutôt d’organiser son ralentissement : mieux définir ses priorités, avancer en sachant où, et pourquoi, donner un sens à nos actions, choisir ce qui nous apporte de la joie !
À méditer…
Article écrit par Sylvie Fillot
Sources :
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Four solaire
Économique et écologique, le four solaire est une alternative gratuite sans électricité ni énergie fossile. Pour parfaire le tableau, le four solaire conserve mieux les vitamines et minéraux des aliments, avec une cuisson douce. Envie de fabriquer le vôtre ? Voilà une activité pour le prochain week-end.
Aucune émission de CO2, par contre le temps de cuisson est long et à l’extérieur.
 
Il y a plusieurs styles de cuiseurs solaires :
  • Ouverts pour concentrer le rayonnement solaire d’une surface en un seul point.
  • Fermés pour un effet de serre en piégeant la chaleur.
 
  • Les fours de type boîte;
  • Les cuiseurs à panneaux réfléchissants;
  • Les cuisinières paraboliques;
  • Les cuiseurs de type “basket”;
 
Les conceptions simples des fours solaires faits maison avec du carton et du papier d’aluminium, atteignent généralement près de 80 °C, la cuisson est lente, pour des préparations simples, sans bouillir.
 
  • Choisir le plat (noir, ou inox ok aussi) qui sera utilisé dans le four solaire, une casserole avec un couvercle transparent, pour surveiller facilement.
  • Choisir un carton qui contient largement la casserole avec la place de la poser facilement, disons 10 cm d’espace autour ?
  • Prendre un deuxième carton plus grand, qui peut contenir le premier carton en laissant environ 4 cm d’espace entre les deux pour l’isolation : liège, laine, boule de papier journal.
  • Découpez deux côtés opposés en diagonales, sur chaque carton.
  • Mettre une matière isolante au fond du petit carton, puis un double fond noir par-dessus.
  • Recouvrir l’intérieur du petit carton avec du papier aluminium, ou autre matière qui va refléter la lumière : pare-soleil de voiture, miroir….
  • Préparer un couvercle s’emboîtant sur le grand carton, comme un cadre pouvant accueillir une plaque transparente pouvant résister à 120°, garder la chaleur et bien laisser passer la lumière : cellophane, verre (assez épais pour ne pas éclater à la chaleur) une plaque de plexiglas.
  • Votre boîte est déjà un petit four.
  • Accentuer la concentration de lumière avec un couvercle réflecteur, maintenu par une barre rigide.
  • Placer un thermomètre au fond du four.
  • Placer votre four sur un plateau permettant de bouger facilement le four pour suivre le soleil selon votre exposition.
  • Utiliser des gants pour ne pas vous brûler.
  • Porter des lunettes de soleil pour protéger vos yeux de l’éblouissement des réflecteurs.
  • Vous pouvez utiliser des bocaux pour cuire de petites portions.
 
Faites attention à l’hygiène de cuisson de la viande si les nuages arrivent.
 
Pour une utilisation courante si vous n’êtes pas bricoleur(euse), il y a beaucoup de modèles dans le commerce. Pour cuisiner des plats plus élaborés (friture et bouillir de l’eau) et obtenir 90° à environ 120 °C, choisissez un four solaire aux matériaux plus stables, recyclés, hygiéniques et de bonne résistance mécanique… bien isoler, un système de couvercle permettant la dilatation du verre causée par la chaleur. Au fond, une plaque ou un plateau métallique noir.
 
À vous de jouer !
 
Article écrit par Sylvie Fillot
 
Sources :
environnement-nc-eco-salle-de-bain
Salle de bain écologique
Voici quelques gestes pour faire des économies écologiques dans la salle de bain !
Ce sont de tout petits riens, mais en faire des habitudes, les répéter encore, les transmettre, multiplie les chances de préserver la planète. Les petits ruisseaux font les grandes rivières. Les petits riens deviennent des grands quelque chose…
 
  • Utiliser des cotons lavables (à la place des cotons jetables)
  • Utiliser un oriculi (à la place des cotons tiges)
  • Laver le linge à basse température (30° ou 40° max)
  • Faire tourner la machine à laver le linge uniquement pleine
  • Choisir une version artisanale pour vos dentifrice, savon, shampoing, soins.
  • Refuser les échantillons gratuits
  • Utiliser des mouchoirs en tissus (à la place des mouchoirs jetables)
  • Utiliser une brosse à dent compostable ou à tête changeable
  • Remplacer les gels douches et shampoings par des cosmétiques solides
  • Utiliser des protections hygiéniques durables (serviettes lavables, coupe menstruelle, éponges, culottes périodiques…)
  • Faire des gommages maison (avec du sucre ou du marc de café)
  • Se démaquiller à l’huile
  • Réutiliser les vieilles brosses de mascara en brosse à sourcils
  • Limiter le nombre de produits cosmétiques
  • Utiliser du vinaigre blanc pour tout nettoyer
  • Garder les vieilles brosses à dents pour faire le ménage
  • Arrêter l’eau quand on se lave les mains
  • Utiliser un verre à dents pour se rincer la bouche après le brossage
  • Installer un mousseur, mitigeur sur les robinets
  • Baignoire balnéothérapie, douche en hydromassage : opter pour des circuits fermés
  • Préférer la lumière du jour en optimisant les miroirs, réflecteurs et couleurs claires
  • Recycler les eaux de la salle de bain en la filtrant et la dirigeant vers les WC, l’arrosage, le lave linge
  • Choisir des peintures écologiques
  • Préférer les meubles en matériaux recyclés et recyclables
  • Aérer bien et mettez des plantes dépolluantes pour purifier l’air de votre salle de bain
 
Article écrit par Sylvie Fillot
 
Sources :
environnement-nc-masque
Réutiliser les masques
Les masques deviennent après utilisation une source de pollution, essayons de maximiser leur utilisation, sans toutefois nous mettre en danger.
La bonne nouvelle, c’est que selon les études de l’UFC Que Choisir, les masques chirurgicaux conservent leurs capacités de filtration après 10 lavages en machine à 60 °C.
Cette solution ne s’applique pas aux milieux de la santé.
Pour le séchage, préférez le sèche-linge, ou à défaut le fer à repasser sans vapeur, avec un réglage minimal de la température, soit 120°, pas plus, car le polypropylène pourrait fondre.
Autre solution, laissez le masque 7 jours de côté tout simplement, car le virus ne survit pas au-delà.
Trouvez un endroit bien sec et aéré, loin de la saleté et de l’humidité. Une enveloppe en papier est un bon choix.
Placez l’enveloppe en papier près d’une source de chaleur ou au soleil accélère le processus.
Les masques FFP2 et N95 sont aussi réutilisables après un séjour d’une semaine dans une enveloppe en papier. Cette méthode ne garantit pas une désinfection totale des germes, mais elle est moins risquée que de mettre un masque en tissus dans sa poche, de ne pas se laver les mains à chaque fois qu’on le manipule.
Après une exposition risquée du masque chirurgical, dans un grand rassemblement, un contact avec une personne contaminée, il reste préférable de laver ou jeter le masque.
Mettre le masque au four à 70° pendant une heure décontamine aussi le masque, mais attention au morceau de fer qui maintient le nez.
Dans tous les cas, ne jetez pas vos masques ailleurs que dans une poubelle fermée et qui n’ira pas au recyclage.
Si les résultats des tests effectués par l’UFC Que Choisir restent valables, les recommandations officielles sont d’utiliser les masques chirurgicaux pendant 4h, ou les masques portant le macaron «filtration garantie» de niveau 1. On imagine bien qu’ils ne peuvent pas être responsables en cas de mauvaise manipulation, c’est à vous d’être rigoureux si vous optez pour cette solution.
La pollution engendrée par ces masques est inquiétante : les nanofibres de plastique ne sont pas biodégradables.
Article écrit par Sylvie Fillot
Sources :
environnement-nc-transformer-le-plastique-en-energie
Transformer le plastique en énergie
Plusieurs projets semblent prometteurs concernant la transformation urgente du plastique.
L’Université de technologie de Nanyang, à Singapour, poursuit ses recherches pour recycler avec du soleil, du plastique en acide formique, capable de produire de l’électricité dans des piles à combustible.
La fondation « Race For Water » a mis au point un prototype « Biogreen » qui permet de transformer un kilo de plastique en un kilo de fioul.
L’association Earth Wake a inventé Chrysalis, qui transforme le plastique en carburant. 1kg de polypropylène et polyéthylène (sacs plastiques, bouchons de bouteille, bassines, flacons de détergent ou de shampoing) devient 650 g de diesel, 180g d’essence, 100g de gaz et 7g de résidu, en 1H30. Le pétrole redevient pétrole avec un système de pyrolyse. Le procédé a été amélioré en 2018, pour traiter beaucoup plus de matière.
Au Japon, M. Ito Akimori de l’entreprise Blest Corporation a inventé une machine révolutionnaire qui transforme les sacs en plastique en pétrole. En d’autres termes, tout le monde à la maison peut créer 1L d’essence pour sa voiture avec 1kg de plastique.
Le chercheur japonais Akinori Ito invente aussi un appareil électroménager capable de transformer du plastique en carburant.
En Inde, une professeure en chimie Alka Zadgaonkar invente une machine brevetée par l’organisation mondiale de propriété intellectuelle, permettant de transformer le plastique en carburant, sans perte et sans pollution. Cette invention a été validée par la Indian Oil Corporation (IOC), une compagnie pétrolière indienne. Lancée en 1995, la méthode a donné ses premiers résultats dès 1998.
Fabriqué avec du pétrole, le plastique peut redevenir pétrole…
Mais il faudrait que la demande augmente pour baisser le prix de la machine.
Pourquoi ce projet n’est-il pas exploité ?
Cependant, gardons à l’esprit que cette essence va continuer de polluer quand elle sera réutilisée, ce qui n’est pas très malin… mais ces systèmes, en plus de limiter la pollution, pourraient aider à développer une autonomie énergétique à petite échelle ? Il semble que nous ayons un stock gratuit et colossal qui attend dans le Pacifique…
Espérons que nous allons bientôt garder bien précieusement nos plastiques et les ramasser assidûment pour les transformer enfin !
Article écrit par Sylvie Fillot
Sources :
environnement-nc-bokashi
Bokashi
Connaissez-vous le bokashi ?
Le compostage bokashi (traduction du japonais “matière organique fermentée”) est fait par un processus de fermentation anaérobie (sans oxygène) qui ne dégage pas de chaleur, conserve l’énergie et garde la qualité des nutriments.
  1. Les déchets organiques alimentaires sont placés dans un contenant qui ferme hermétiquement, avec un robinet en bas, et un tamis dans le fond pour séparer les matières solides et liquides. Le seau doit être ouvert le moins souvent possible, une fois par jour, l’air étant un frein au processus de fermentation anaérobie.
  2. Saupoudrer à chaque ajout de déchets organiques du “son de bokashi ” (ou de spray liquide) composé de micro-organismes efficaces (EM) : des bactéries naturelles lactiques, bactéries photosynthétiques, levures et bactéries actinomycètes, pour agir sur la fermentation et l’accélération de la répartition de la matière organique. Tassez pour retirer l’air.
  3. Le seau plein, laissez fermenter quinze jours. Si l’odeur est douce et aigre de cornichon, le compost Bokashi est prêt. Si l’odeur est âcre attendre encore un peu.
Récolter le jus “thé de compost” dès que possible pour maintenir l’activité microbienne optimum. Le jus pourra être utilisé en engrais pour vos plantes, en le diluant dans de l’eau à 1 volume pour 100 d’eau. Vous pouvez aussi le mettre pur dans l’évier ou les toilettes pour améliorer le processus de votre fosse sceptique.
Il est possible de remplacer le “son de bokashi” bien qu’il reste optimal. Une autre alternative : 1/3 de petit-lait, 1/3 de marc de café, 5cs de sucre et remplir avec de l’eau. fermer le tout dans un bocal et laisser reposer pendant 1 semaine.
Version DIY
Attention, le compost bokashi est acide, cette acidité permet de lutter contre les agents pathogènes. Mélanger un volume de déchets fermentés avec quatre volume de terre et attendez quinze jours que le pH soit neutre avant de planter.
Ne pas y mettre de papier, d’eau, de cendre, et plantes malades. Et tout ce qui n’est pas organique. Ne pas placer le composteur bokashi en plein soleil.
Les composteurs bokashi existent dans le commerce, malheureusement souvent en plastique. Préférez la version inox, ou le recyclage en récupérant deux seaux imbriqués les uns dans les autres, avec un couvercle. Un exemple ici https://bit.ly/3oxr8pu ou ici https://bit.ly/2MJZ7NZ
Les avantages du bokachi :
  • Les viandes, poissons, produits laitiers, pain et céréales, ail, oignon, gras en faible quantité, et même de la nourriture cuite et les agrumes peuvent être compostés, contrairement au compostage traditionnel. Il y a donc moins d’erreur possible et une meilleure qualité.
  • Peut se faire en appartement.
  • Rapide : prêt en quelques semaines
  • Pas besoin de retourner ou aérer les déchets
  • Pas de contrôle de température
  • N’attire pas les insectes (bien fermé hermétiquement)
  • Le procédé anaérobie avec les micro-organismes efficaces, la fermentation Bokashi n’émet pas de méthane et conserve les nutriments.
  • Le compost bokashi peut être mélangé au compost classique et au lombricompostage.
Quelques opérations de recyclage de déchets fermentés avec le compostage bokashi sont mises en place à Waiheke Island en Nouvelle-Zélande, à Manhattan et Brooklyn à New York ainsi qu’en France à Bordeaux.
Le compostage bokashi répond à l’exigence de La loi de Transition Énergétique pour la Croissance Verte (LTECV) qui prévoit que tous les particuliers disposent d’une solution pratique de tri à la source de leurs biodéchets avant 2025, échéance ramenée à fin 2023 par l’Europe.
Article écrit par Sylvie Fillot
Sources :
environnement-nc-reduire-la-consommation-de-plastique
Réduire la consommation de plastique
L’objectif zéro déchet devient urgent ! Chacun doit s’y mettre et adopter de nouvelles habitudes.
Voici quelques idées :
  • Commencer par acheter des produits aux emballages recyclables, c’est notre pouvoir en tant que consommateurs, le client est roi et les industries ne pourront que suivre et s’adapter à nos choix de consommation. Choisir le vrac avec nos contenants en verre, tissus, inox…
  • 50% du plastique fabriqué est à usage unique. Il faut des millions d’années pour former le matériau de base : le pétrole, le charbon ou le gaz, puis dépenser de l’énergie pour extraire, transformer, transporter cette matière, pour quelques minutes d’utilisation. Puis il faut encore des années pour que ce plastique se dégrade, et pollue les océans, tue les animaux, et revient dans notre alimentation par de micro particules quand nous réchauffons un plat dans du plastique au micro-onde par exemple.
  • Réutiliser le plus possible : choisir les produits d’occasion !
  • Réaliser vous-mêmes vos produits de soin pour éviter les emballages du commerce.
  • Choisir l’eau du robinet, filtrée si vous préférez, et emportez une gourde en inox ou une bouteille en verre.
  • Quand est-ce que l’on revient au principe de consigne ? Industriels, producteurs, l’appel est lancé : c’est du gagnant-gagnant qui permettrait de fidéliser les consommateurs qui choisissent les attitudes des commerçants les plus éco-responsables !
Zero Waste France, en partenariat avec l’Université des Colibris, propose une formation en ligne gratuite : 12 modules en libre consultation et à faire à son rythme !
Article écrit par Sylvie Fillot
Sources :
environnement-nc-cuisine-saine
Cuisiner sainement
En cuisinant, nous utilisons des matériaux qui ne sont peut-être pas optimaux pour notre santé.
Voici quelques conseils pour en savoir plus :
  • Le Teflon, un revêtement anti-adhésif pour les poêles, devient toxique à partir de 230°C. Préférez les revêtements en fer, fonte inox ou céramique.
  • Le silicone : les moules en silicone n’ont pas tous la même composition : certains sont à base de platine (inertes jusqu’à 250 °C), l’autre de peroxyde (inertes jusqu’à… 160 °C). Si votre moule dégage une mauvaise odeur à la première cuisson, méfiance : le fabricant a peut-être “oublié” de le chauffer 4h à 200°C pour le “curer”, et ce sont vos cuissons maison qui font le travail. Préférez des moules en fonte, en céramique ou en Pyrex.
  • Le papier cuisson peut être traité chimiquement, revenez aux bonnes vieilles habitudes d’huiler et fariner votre plat avant cuisson.
  • Plus généralement, évitez le plastique du cuit-vapeur et d’autres boîtes pour le micro-ondes, et préférez le verre, la fonte, la céramique, la terre cuite, le Beka, le bambou, le carton pour les emballages… Le plastique peut contenir du PBA, un composant chimique utilisé pour rigidifier la matière plastique. Regardez le symbole des 3 flèches noires formant un triangle avec un chiffre au milieu : il y a 7 familles de plastique, c’est le numéro 7 qui contient du Bisphénol-A. Les canettes à soda et les boîtes de conserves peuvent aussi être concernées.
  • L’aluminium peut être toxique avec des molécules qui migrent dans l’organisme, mais pas quand il a un revêtement en Beka.
  • L’huile cuite noircit et fait de la fumée. C’est ce que l’on appelle le point de fumée, chaque huile a son propre point de fumée : le seuil de température qu’il ne faut pas dépasser.
  • Plus généralement, dès que l’emballage est en plastique, en polystyrène, choisissez les produits frais vendus à la coupe, emmenez vos récipients dans les boutiques qui proposent du vrac, préférez les grandes quantités aux petites portions souvent sur-emballées inutilement…
Article écrit par Sylvie Fillot
Sources :
environnement-nc-ecologie-informatique
Informatique écologique
Le stockage de données nécessite en permanence des serveurs alimentés en énergie.
Voici quelques conseils pour une informatique plus écologique :
  • Utiliser le cloud pour stocker ou télécharger des données, regarder un film en streaming, écouter de la musique en ligne consomme de l’énergie à chaque manipulation. Préférer une sauvegarde sur un disque dur local serait donc plus écologique.
  • La consommation d’énergie liée à Internet commence par le boîtier Internet, souvent branché toute la nuit sans raison, ou l’utilisation du réseau de votre smartphone plutôt que le Wi-Fi de la maison ou lieu public : le Wi-Fi consomme beaucoup moins d’énergie que le réseau mobile, le mieux serait de privilégier le Wi-Fi.
  • Utiliser la télévision par l’ADSL consomme plus que les offres par la TNT.
  • Débrancher les appareils quand ils sont rechargés réduit la consommation d’énergie et contribue à rallonger la durée de vie du matériel.
  • Préférer le mode « Veille prolongée » en cas d’absence, et éteindre les appareils la nuit.
  • La gestion des emails peut avoir une incidence écologique : les supprimer n’est pas forcément la solution, car la consommation se fait à l’écriture et au transport de l’email. Mais de bonnes habitudes peuvent limiter les dégâts : en écrivant moins de mails et en limitant le nombre de destinataires.
  • Choisir le format texte : le format HTML est 12 fois plus lourd.
  • Les pièces jointes et les signatures mail n’aident pas à réduire la consommation d’énergie, surtout si la signature utilise une image.
  • Les newsletters que l’on ne lit plus sont à éliminer, et se désabonner.
  • Éviter aussi d’imprimer les emails…
  • Vos déchets électroniques : faites d’abord réparer quand c’est possible (essayez le repair café ?), donnez-les aux associations (la ressourcerie ? selon l’état du matériel, à voir avec eux…) ou déposez-les à la déchèterie qui se chargera de la récupération et éventuellement de l’envoi pour recyclage (bien que le kilomètres parcourus ne soient pas très écolo…)
L’empreinte écologique du numérique est à peu près deux fois celle de la France. C’est un sixième continent tant sur les émissions de gaz à effet de serre que sur l’épuisement de ressources naturelles ou encore la consommation d’énergie.
Si Internet était un pays, il serait le troisième consommateur mondial d’électricité après la Chine et les États-Unis. 7 à 10% de l’électricité mondiale serait consommée par Internet seul.
Selon la troisième édition du rapport « The Global E-Waste Monitor 2020 » en 2019, 53,6 millions de tonnes métriques de déchets électroniques ont été produites, soit une croissance de 21 % en 5 ans.
Ces pratiques écologiques avec l’informatique s’appellent le “Green IT” et sont certifiées par un programme d’étiquetage sur l’efficacité énergétique “Energy Star”. Ces pratiques concernent autant les entreprises que les particuliers.
Pour arriver à des centres de données version écologiques, les fabricants et fournisseurs informatiques investissent dans le haut rendement énergétique, la réduction des matériaux dangereux et la recyclabilité des périphériques numériques.
L’informatique, bien que polluante, reste une alternative à d’autres pollutions.
Prendre la voiture pour aller déposer un dossier imprimé ou l’envoyer par mail : quelle solution consomme le moins ?
Article écrit par Sylvie Fillot
Sources :
environnement-nc-lave-vaisselle
Faire ses pastilles pour lave-vaisselle
Les poudres et pastilles pour lave-vaisselle du commerce peuvent polluer l’eau avec les phosphates, les parfums, ou encore des agents blanchissants peuvent contenir des perturbateurs endocriniens, sans compter le prix, et les emballages qui remplissent nos poubelles… Il y a beaucoup de bonnes raisons pour fabriquer ses pastilles écologiques pour lave-vaisselle !
Voici une recette simple :
  • 3 cuillères à soupe de cristaux de soude
  • 3 cuillères à soupe de bicarbonate de soude (nettoie, dégraisse, récure, désodorise, évite la prolifération des bactéries)
  • 1 cuillère à soupe d’acide citrique (détartre et neutralise le calcaire, évite que des résidus de saleté restent coincés dans les recoins de votre machine, évite les tâches blanches (film calcaire) sur la vaisselle)
  • 1 cuillère à soupe de gros sel de mer (abrasif non corrosif, il détache, désodorise)
En option, vous pouvez ajouter 15 gouttes d’huile essentielle de lavande et 15 gouttes d’huile essentielle de citron.
Bien mélanger et ajouter un peu d’eau jusqu’à ce que vous puissiez former une “boule de neige”, mais n’ajoutez pas trop d’eau sinon vos tablettes ne sécheront pas bien.
Pour faire sous forme de tablettes, utilisez un bac à glaçons. Tassez bien.
Laisser sécher pendant 12 à 24 heures, puis retourner doucement votre bac à glaçons. Stocker dans un endroit sec, comme un bocal en verre fermé.
Ajoutez du vinaigre blanc dans le bac de liquide de rinçage, pour un séchage rapide et sans traces.
À l’écoute de vos commentaires, votre expérience montre que le bicarbonate ternit les verres.
Voici une alternative de la recette qui nous a été proposée :
Mélanger 200g de cristaux de soude avec 75g de sel dans un bocal hermétique. Une cuillère à soupe du mélange dans le bac + une cuillère à café d’acide citrique au moment de lancer la machine.
Merci à So Ber pour le partage !
Penser à nettoyer régulièrement le filtre du lave-vaisselle.
Pour la vaisselle à la main, le savon de Marseille est idéal.
Article écrit par Sylvie Fillot
Sources :
environnement-nc-sachet-de-the
Réutilisez vos sachets de thé
Vous buvez souvent du thé et vous jetez vos sachets après infusion ?
Voilà quelques idées pour leur donner une deuxième vie :
  • Vous pouvez tout d’abord les réutiliser pour une deuxième infusion.
  • Optez pour un deuxième thé, mais glacé, qui se garde plus longtemps, ou allez jusqu’aux glaçons aromatisés !
  • Trempez les sachets de thé dans l’eau des pâtes (thé vert), l’eau du riz (thé au jasmin), pour desserts (cupcake miel-thé noir) pour une délicieuse version aromatisée.
  • Utilisez du thé noir dans une marinade pour attendrir la viande.
  • Frottez-vous les mains avec un sachet de thé usagé pour faire passer les odeurs persistantes d’ail ou de poisson.
  • Désodorisez les chaussures, fond de poubelle avec des sachets de thé secs.
  • Posez un sachet humide de thé vert sur une petite coupure active la coagulation du sang pour arrêter le saignement.
  • Le thé noir sur le visage vous donnera bonne mine avec un très léger teint hâlé.
  • Les feuilles de thé contiennent des antioxydants, excellents pour votre peau. Dans votre bain, placez un sachet de thé !
  • Sur une piqûre de moustique, un bouton de fièvre, une verrue plantaire, un sachet de thé chaud et humide apaise les démangeaisons, soulage la douleur, aide à la guérison.
  • Matin difficile avec les yeux gonflés, cernés ? Le thé vert est un décongestionnant ! Appliquez le sachet humide sur les paupières.
  • Le thé contient de l’acide tannique, qui peut décrasser un meuble en bois, puis le faire briller avec un chiffon sec.
  • Vos sachets de thé gardent l’humidité, posez-les aux pieds de vos plantes.
  • Arrosez vos plantes avec de l’eau infusée de thé, limite les champignons et repousse les nuisibles par son odeur.
  • Teintez vos vêtements avec l’eau infusée pour leur donner un jaune orangé.
  • Dégraissez votre vaisselle dans de l’eau infusée.
  • Nettoyez et faites briller le verre et les miroirs en frottant un sachet de thé puis en essuyant avec un chiffon en microfibre.
  • Mettez quelques gouttes d’huile essentielle sur un sachet, votre parfum de maison est prêt ! Accrochez-le avec sa petite ficelle.
  • Mettez dans un placard quelques gouttes d’huiles essentielles de menthe poivrée sur un sachet, les rongeurs, araignées, fourmis fuiront cet endroit.
  • Quand vous aurez utilisé le plus possible votre sachet, il peut encore être utile : mettez-le au compost.
Article écrit par Sylvie Fillot
Sources :
environnement-nc-materiel-durable
Prenez soin de vos appareils
Comment garder son aspirateur, lave-linge, ordinateur le plus longtemps possible ? en misant sur un entretien régulier ?
Voici quelques attentions à prendre à leur égard :
  • Préservez la batterie : ne laissez pas l’appareil en charge plus que nécessaire ; cela use rapidement la batterie, la durée de vie de l’appareil, augmente le montant de votre facture, en plus d’être un risque d’accident électrique, d’incendie…
  • Utilisez l’appareil jusqu’à ce que la batterie soit totalement déchargée avant de la recharger.
  • Respectez les voltages demandés, ne permutez pas les chargeurs.
  • Respectez les puissances progressives des moteurs, commencez doucement.
  • Enlevez la poussière qui se dépose sur les petites grilles d’aération (télévision, ordinateurs, arrière des réfrigérateurs…) pour éviter les surchauffes : un coup d’aspirateur avec un embout brosse sera rapide et efficace.
  • Nettoyez bien les filtres (sèche-linge, lave-vaisselle, aspirateur…) ou changez-les régulièrement.
  • Nettoyez les joints régulièrement (lave-linge, lave-vaisselle, réfrigérateur, congélateur, mixer…)
  • Protégez vos outils de la rouille avec un peu d’huile.
  • Nettoyez votre four après chaque utilisation, les résidus deviennent toxiques à la prochaine cuisson.
  • Huilez les mécanismes selon leurs besoins (chaîne de vélo…)
Article écrit par Sylvie Fillot
Sources :
environnement-nc-bocaux-verre
Recycler vos bocaux en verre
Bien que des bacs soient à disposition pour recycler vos bocaux en verre, ils peuvent avoir une deuxième vie et se rendre encore utiles à la maison.
  • Biensûr, les bocaux en verre peuvent se transformer en pot à stylos mais aussi pour les crayons de couleur, et autres petits objets qui se perdent au fond des tiroirs : agrafes, piles, clés, perles, vis et clous, éléments pour la couture… enfin rangés par catégorie, et surtout visibles sans avoir à étiqueter ou ouvrir chaque boîte, ils seront parfaits au bureau, dans la chambre d’enfant, ou dans la cuisine…
  • Dans la salle de bain, les bocaux deviennent des pots à brosse à dent, ou pour y garder bien fermés les cotons-tiges, les rouges à lèvres, ou autres crayons à maquillage…
  • Pour garder à disposition les couverts dont on se sert chaque jour.
  • Pour conserver vos confections maison de achards, confitures, ou vos conserves maison ? essayez aussi les légumes fermentés…
  • Gardez-y la farine, les lentilles, les graines de sésame, céréales du matin ou tout autre aliment qui pourrait attirer les rongeurs dans vos placards.
  • Les petits bocaux seront parfaits en verrine en parts individuelles pour les apéros dinatoires, idéal pour les petites salades tahitiennes ou autres. Ou pour des desserts du genre cheese-cake ?
  • Les bocaux peuvent aussi être pratiques pour emmener au bureau votre repas fait maison.
  • Adoptez-les pour la vinaigrette, qui se mélangera facilement en secouant vivement le bocal fermé, et en y inscrivant au stylo indélébile les proportions idéales d’ingrédients.
  • En décoration, ils protègeront du vent vos bougies pour les soirées féeriques dans le jardin (attendez qu’ils refroidissent avant de les toucher !).
  • Ou sur une table mettez-y une guirlande enlacée pour un effet très scintillant !
  • Plantez vos aromatiques en y mettant quelques petits cailloux dans le fond, placez-les à portée de main dans la cuisine.
  • Une jolie plante succulente y sera parfaite, pourquoi pas suspendue par un macramé fait maison.
  • En vase pour les petits bouquets ou juste une fleur du jardin pour en profiter dans le salon. Habillez le bocal en le peignant, ou enroulé d’une jolie ficelle.
  • Un fil électrique trop long peut y être rangé pour éviter qu’il ne s’emmêle avec d’autres fils.
  • Posez-les à l’envers avec une photo de vos proches à l’intérieur change du cadre photo !
  • Dans un tiroir, notez le contenu du bocal sur le couvercle !
Article écrit par Sylvie Fillot
Sources :
environnement-nc-assainir-la-maison
Assainir la Maison
Pour assainir la maison, voici quelques astuces !
  • Tout d’abord, quelques notions de rappel : il faut bien nettoyer avant de désinfecter, à moins de frotter très fortement, la crasse avec du désinfectant ne suffit pas, et ça colle aux chaussures !
  • Pour nettoyer, le savon noir, le bicarbonate, choisissez votre nettoyant préféré.
  • Pour désinfecter, le vinaigre blanc est efficace pour éliminer les virus et les rendre inactifs. C’est déjà ça, mais il ne les tue pas. Pour les tuer et les détruire complètement, il faut utiliser de la javel diluée ou de l’alcool.
  • Il est difficile de recommander la javel, même diluée, car elle est reconnue toxique et souvent interdite pour la santé et l’environnement. Dangereuse pour les poumons, ce n’est pas le moment de se créer des problèmes respiratoires !
  • L’alcool ménager reste la solution la plus sûre. C’est pour ça qu’il devient rare !
  • Vous pouvez doser à 60% l’alcool bio à 90°, ou l’alcool ménager à 95° avec de l’eau.
  • L’alcool à 70° est à utiliser pur.
  • Mettez le mélange dans un spray pour faciliter la diffusion.
Autre astuce :
Préparez vos lingettes désinfectantes, et réutilisables :
  • Mettez dans l’eau bouillante des morceaux de tissus découpés aux tailles qui vous conviennent ; puis, dans un bocal, laissez les “lingettes” tremper dans l’alcool dilué + eau bouillie.
  • Utilisez du vinaigre blanc reste une bonne alternative en cas de pénurie d’alcool.
  • Rincez à l’eau claire entre chaque utilisation, puis à la machine (60°) avant de les remettre dans le bocal.
Pensez à tous les endroits que nous touchons régulièrement, ils ne sont pas forcément les endroits que nous nettoyons couramment.
De nouvelles habitudes commencent !
  • Observez tout ce que vous touchez d’une nouvelle manière.
  • Poignées de porte, poignées des portes des placards, du frigo et du congélateur, le bouton qui actionne la chasse d’eau des WC, rampes d’escalier et interrupteurs, smartphone, tablette, écouteurs, clavier, télécommandes ou encore les manettes des consoles de jeux. Boutons de réglage du gaz, briquet, stylo…
  • Plans de travail, surfaces, tables et bureaux, chaises, anse de sacs, chaussures, espaces où vous quittez vos chaussures et entreposez vos sacs de courses.
  • Désinfection régulière des sanitaires et salles d’eau.
  • Linge : vêtements, draps et linge de toilette, oreillers et couettes. Le linge de l’extérieur ne doit pas être mélangé. Optez pour un cycle long à 60°C.
Essayez de séparer les objets et vêtements venant de l’extérieur et ceux qui restent à l’intérieur.
Pour assainir l’air de la maison :
Diffuseur d’huiles essentielles : lavande officinale, eucalyptus, niaouli, Infusion de thym, Pensez aussi au papier d’arménie ! Les scientifiques n’ont pas prouvé l’action désinfectante des huiles essentielles, mais leur inefficacité n’est pas non plus démontrée, donc à vous de voir.
Mélangez 2 cuillerées à soupe de bicarbonate 6 grandes cuillères d’eau chaude et 8 gouttes d’huile essentielle d’arbre à thé (tea tree). Vaporisez, laissez sécher.
Ou, 8 gouttes d’huile essentielle de palm Arosa + 8 gouttes d’huile essentielle de citronnelle + 8 gouttes d’huile essentielle de lemongrass + 8 gouttes d’huile essentielle de citron et un peu d’eau chaude.
Article écrit par Sylvie Fillot
Sources :
environnement-nc-astuces-bout-de-savon
Recycler les restes de savon
Pour recycler la fin de vos savons, il y a plusieurs solutions !
  • Recréez un savon : râpez puis avec un tout petit peu d’eau chaude, malaxez la pâte sous forme de boule ou sculptez-les en formes simples de cœur ou d’étoile et laissez sécher.
  • Passez au mixeur les morceaux de savon avec de l’eau chaude pour en faire un savon liquide.
  • Pour la vaisselle : regroupez vos restes de savon dans un large bocal avec de l’eau et une brosse au long manche laissée dedans, prête à l’emploi : facile d’accès pour faire la vaisselle !
  • En faire une crème à raser : ajoutez au savon de Marseille (100 g râpé : réduisez les doses selon le morceau de savon qu’il vous reste) 2 cuillères à soupe d’huile d’amande douce, 2 cuillères à soupe d’argile blanche, 30 gouttes d’huile essentielle de lavandin, à mixer avec 75 mL d’eau chaude.
  • Dans une éponge, faites une entaille et glissez le morceau de savon : magique ! cette éponge mousse toute seule.
  • Vous stockez les vêtements plus chauds pendant l’été, mais une odeur de renfermé peut apparaître dans ce sac fermé trop longtemps : placez un morceau de savon pour retrouver vos pulls avec une odeur de propre !
  • Gardez les restes de savon parfumé pour les glisser dans le bain !
  • Vous faites de la couture ? utilisez un morceau de savon que vous aurez affiné sur un côté pour tracer les formes de découpe à la place d’une craie.
  • Parfumez vos tiroirs en y plaçant un morceau de savon.
  • Au jardin : mixez le savon dans l’eau, avec une gousse d’ail et une cuillère à café de piment rouge, et vaporisez sur vos plantes pour un insecticide tout doux.
Article écrit par Sylvie Fillot
Sources :
environnement-nc-astuces-creer-son-deo
Créer son déodorant non toxique
Créer son déodorant sous forme de crème, d’une application pratique, d’une efficacité longue durée, c’est économique et écologique !
Prendre :
  • 50 g d’huile de coco bio (anti-bactérienne, anti-fongique et hydratante. Ne prenez pas la version désodorisée qui a perdu ses propriétés.)
  • 5 g de cire d’abeille bio (retient l’eau sans boucher les pores : hydratante, cicatrisante, apaisante, donne une agréable tenue à la crème et garde les ingrédients liés.)
  • Le beurre de karité peut aussi être utilisé pour remplacer la cire, pour sa texture et ses bienfaits hydratant, anti inflammatoire.
  • 30 g de bicarbonate de soude alimentaire très fin (assèche, anti odeur, et tellement plus) ou de l’argile blanche.
  • 20 g de fécule de maïs bio ou de pomme de terre ou l’arrow-root (absorbe l’humidité, aide à l’adhésion sur la peau.)
  • 5 gouttes d’huile essentielle de Palmarosa ou tea-tree (anti-bactériennes et anti-fongiques.)
  1. Faire fondre l’huile de coco, et la cire d’abeille au bain-marie.
  2. Ajouter le bicarbonate et la fécule en fouettant pour éliminer tout grumeau.
  3. Ajoutez les huiles essentielles de Palmarosa ou tea-tree et fouettez de nouveau.
  4. Versez dans un pot ou un stick et laissez prendre au réfrigérateur.
Choisissez des ingrédients biologiques pour être sûr d’échapper aux composants toxiques.
Ce déodorant ne bloque pas le processus naturel de transpiration : il n’est pas du tout occlusif, ce qui est parfait !
On peut créer son déodorant pour la santé, le prix, et également pour éviter de nouveaux déchets…
Article écrit par Sylvie Fillot
Sources :
environnement-nc-astuces-pollution-interieure
Éviter la pollution dans la maison
Notre intérieur peut devenir toxique !
Comment l’éviter ?
  • Aérer au maximum : ouvrez toutes vos portes et fenêtres pour créer un courant d’air et renouveler l’air de la maison.
  • Éviter de garder l’humidité : vous cuisinez à la vapeur ? vous sortez d’une douche chaude ? votre linge sèche dans une pièce fermée ? aérer le plus possible pour ne pas que l’humidité provoque des moisissures.
  • Ne choisissez pas de meuble en agglomérés qui dégagent des aldéhydes irritants.
  • Préférez les produits de nettoyage sains ; vinaigre blanc, savon noir, bicarbonate… ou les produits labellisés (NF environnement).
  • Nettoyez tous les 3 mois les tapis, rideaux, housse de canapé, peluches, et aussi les oreillers, les couettes… aspirer et montrez le soleil à votre matelas.
  • Dépoussiérez régulièrement : préférez un chiffon légèrement humide pour ne pas juste soulever la poussière.
  • Méfiez-vous des désodorisants.
  • Fumez à l’extérieur… la fumée de cigarette est une source de formaldéhyde, entre autre…
  • Généralement, soyez exigeant sur les matériaux de construction et d’aménagement, vérifiez les indications des composés organiques volatils COV… Retrouvez ici un tableau sur les composants et leur effets sur l’environnement : https://bit.ly/2ZXU4fI
  • Les matériaux recyclés, selon leur passé, pourraient contenir des traces de produits toxiques (palettes ?)
  • Préférez la terre cuite, les revêtements de mur à base de chaux naturelle, elles préservent aussi des champs magnétiques (WI-FI, installation électrique, etc.)
  • Adoptez des plantes dépolluantes : Anthurium (dépollution de l’amoniac, à mettre dans la salle de bain ou la cuisine), le Caoutchouc vous protège du formaldéhyde (à mettre près des meubles en bois aggloméré).
  • Le Palmier bambou sera placé vers le dressing, pour absorber le trichloréthylène contenu dans les antimites et les produits de teintureries.
  • Renseignez-vous sur ces plantes qui sont souvent très répandues.
Article écrit par Sylvie Fillot
Sources :
environnement-nc-astuces-appareil-en-veille
Électricité – stop aux appareils en veille
Vous éteignez la lumière en sortant de la pièce… Mais avez-vous déjà prêté attention à tous vos appareils en veille que l’on n’éteint jamais ? Comptez-les : la télévision, les chargeurs qui restent branchés sans les appareils correspondants, internet, les ordinateurs, la cafetière, le toaster… Par exemple, une télévision consomme plus pendant ses 20 heures de veille que pendant ses 4 heures allumée, c’est ballot. Les appareils en veille représenteraient 11% de votre facture (selon l’AFP-Powermetrix)
Pour aider à s’imaginer : laissez 7 à 8 ampoules nouvelle génération allumées toute l’année et 24h/24h ! Ça pique un peu quand on fait attention à ses dépenses.
Donc maintenant, faites le tour des prises à débrancher chaque soir avant de vous coucher, et chaque jour, branchez uniquement ce dont vous vous servez, le temps dont vous vous en servez uniquement.
Préférez les multiprises avec interrupteur, tellement plus faciles à vérifier quand le voyant est allumé, et permet de gagner du temps en éteignant tout d’un seul coup.
Article écrit par Sylvie Fillot
Sources :
environnement-nc-astuces-dentifrice
Créez votre dentifrice
Et si vous faisiez vous-même votre dentifrice ? C’est toujours rassurant de savoir exactement les ingrédients des produits que l’on utilise, surtout dans la bouche !
En plus, vous évitez de jeter un emballage plastique du tube, et aussi parfois un autre emballage de la boite en carton imprimé ! De plus, certains ingrédients ne sont pas là pour votre bien… La saccharine et l’aspartame : des additifs à éviter ; Triclosan : un pesticide ! Laureth sulfate de sodium : peut causer des ulcères…
  1. Mélangez une cuillère à soupe de bicarbonate de soude et 3 cuillères à soupe d’argile blanche.
  2. Ajoutez 5 gouttes d’huile essentielle de menthe ou citron, mélangez le tout.
  3. Mettez le mélange en poudre dans un récipient qui ne soit pas métallique (l’argile perdrait ses effets)
  4. Mouillez votre brosse à dent et trempez-la dans la poudre
Lavez-vous les dents comme d’habitude !
Le bicarbonate blanchit, détartre, assainit, l’argile soigne les aphtes et petits bobos… C’est pas beau ça ?
Dans un récipient fermé, gardez cette préparation aussi longtemps que vous le voulez…
Le bicarbonate n’abîme pas l’émail de vos dents, malgré que cette idée soit légitimement souvent mise en avant. En savoir plus ici : https://bit.ly/2pSConL
Si le doute plane encore pour vous : une alternative de recette serait : argile (même verte) huile de coco, et de l’huile essentielle de tea tree.
Article écrit par Sylvie Fillot
Sources :
environnement-nc-astuces-plantes-depolluantes
Lessive à la cendre
Cette recette ancestrale de la lessive à la cendre reste d’actualité dans cette période où l’on cherche à éliminer toute pollution chimique qui nuirait à notre petite planète adorée. La cendre est abrasive, dégraissante, absorbante et assainissante, non polluante, et… gratuite.
Évitez la cendre de bois résineux, pauvre en potasse, favorisez les cendres de fougère, plus riches en potasse : c’est bien cet ingrédient qui nous intéresse.
  1. Tamisez la cendre froide (ne laissez pas de petits bouts de charbon qui absorberaient la potasse)
  2. Versez 1 l d’eau chaude sur 150 g (2 verres) de cendre de bois.
  3. Laissez macérer 24 h ou plus en remuant de temps en temps.
  4. Filtrez le liquide à l’aide d’un tissu fin ou d’un filtre à café.
  5. C’est prêt !
Ajoutez si vous voulez quelques gouttes d’huiles essentielles de Tea tree (arbre à thé) pour son côté désinfectant, ou lavande, niaouli, santal ? selon votre humeur…
Conservez la lessive dans un contenant hermétique environ 2 mois.
Ajoutez du vinaigre blanc en guise d’adoucissant.
Gardez les résidus restés dans le filtre, comme crème à récurer pour nettoyer l’évier, le four, la vaisselle… ou au jardin, en engrais ou au compost !
Récupérez une casserole brûlée avec de l’eau, de la cendre, en laissant bouillir quelques minutes.
Article écrit par Sylvie Fillot
Sources :
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Du jetable au durable
Nous avons pris l’habitude d’utiliser des objets que l’on jette après utilisation, parfois même une seule utilisation… Comment réduire ces déchets ?
Beaucoup de produits jetables pourraient être remplacés par des produits durables :
  • Le coton : remplacer par un petit morceau de tissu doux et absorbant
  • Les cotons-tige : remplacer par un oriculi, cure-oreille
  • Les mouchoirs en papier : remplacer par un carré de tissu
  • Les gels douche et shampoing : remplacer par du savon et shampoing solide
  • Le film plastique étirable : remplacer par un bocal en verre
  • L’essuie-tout : remplacer par un chiffon
  • Les bouteilles plastique : remplacer par une gourde, une carafe
  • La vaisselle jetable : remplacer par de la vraie vaisselle
  • Les serviettes en papier : remplacer par une serviette en tissu
  • Les éponges jetables : remplacer par une éponge lavable (avec des chutes de tissus ?)
Article écrit par Sylvie Fillot
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Faire des économies d’électricité
De plus en plus, l’écologie doit rimer avec économie ! Entreprises et particuliers ont du mal à faire un geste s’il ne cadre pas avec “gagner de l’argent” ou au moins “économiser”. Les entreprises sont même prêtes à payer des taxes quand elles polluent : la balance ne penche pas vers la conscience ! On veut bien faire un geste, tant qu’il ne prend pas trop de temps, et d’argent !
Alors quelles sont les actions à mettre en place ?
Voici quelques idées :
  • Changer toutes les ampoules pour des ampoules LED.
  • Miser sur l’énergie solaire, ou les petites éoliennes utilisées sur les bateaux ?
  • Éteindre quand vous sortez de la pièce (toilettes, salle de bain, oui ça paraît évident, mais si simple à oublier quand la porte est fermée)
  • Opter pour les détecteurs de mouvement et minuteries dans les endroits où c’est possible.
  • Un arbre devant votre fenêtre vous oblige à allumer la lumière la journée ? Élaguez !
  • Éviter la climatisation, la température intérieure peut être optimisée : une fenêtre bien placée en face d’une autre peut créer un courant d’air, optimiser l’isolation des murs et toiture, un film solaire sur les fenêtres peut aider à réduire la chaleur de la pièce, quelques plantes bien placées peuvent créer une ombre rafraîchissante (faire la part entre lumière et soleil direct !)
  • Éteindre totalement les appareils en veille (10% de la facture !) : choisissez des multiprises avec interrupteur pour vous simplifier la tâche.
  • Enlever la poussière sur les ampoules pour une efficacité maximale.
  • Choisir le lavage “éco” pour la vaisselle ou le linge, ou mieux à l’eau froide pour vos vêtements, ils dureront plus longtemps…
  • Préférer la version A+++ pour votre électroménager (renseignez-vous sur les réductions d’impôts !)
  • Dégivrer le réfrigérateur pour ne pas qu’il force.
  • Laisser bien refroidir les plats avant de les mettre au réfrigérateur.
  • Nettoyer les filtres, les joints de porte, des grilles arrières des réfrigérateurs, prenez soin de vos appareils !
Article écrit par Sylvie Fillot
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Comment remplacer le plastique ?
Le plastique ne rime pas avec écologique… C’est à chacun d’entre nous de refuser d’utiliser du plastique pour que l’industrie finisse par comprendre que nous n’en voulons plus. Quelles sont les alternatives ?
Voilà quelques solutions…
  • Sac plastique “pochon” 😉 : Bientôt en voie de disparition ! Optez dès maintenant pour des sacs en tissus ! Maintenant très répandus et souvent en vente à la caisse en cas d’oubli. Sinon, petite astuce : prenez un paréo, mettez vos affaires à transporter au centre, rejoignez les coins opposés et faites un premier nœud qui maintient le tout, puis un deuxième nœud avec les deux autres coins, qui feront office de anse à mettre au bras en bandoulière.
  • Grand sac de course vendu en caisse : au départ, ces sacs étaient valables à vie, le principe était que l’on pouvait les remplacer au magasin (qui était sensé les recycler) dès qu’ils étaient abimés. Bizarrement tout le monde l’a oublié, et ils ne sont pas biodégradables, donc stop ! (oui c’est vrai c’était très pratique, la taille était parfaite… elle le sera toujours avec un grand sac en tissus ! Faisons notre deuil pour de meilleurs lendemains !
  • Gobelet : au bureau, prenez les devants en choisissant une tasse ou un verre pour remplacer les gobelets de la fontaine à eau. Frimez en faisant une édition spéciale de tasse imprimée au nom de l’entreprise ?
  • Assiettes en plastique : pour un pique-nique ou anniversaire, si ça vous fait trop de vaisselle, elles existent aussi en carton !
  • Bouteilles plastique : choisissez l’eau du robinet ! Filtrez-la dans une carafe si vous préférez… Pour l’achat de boissons, préférez le verre, le carton, ou mieux, faites vos jus de fruit ! Pour vous déplacer, offrez-vous une gourde en inox (recyclable et non toxique… qui ne doit cependant pas être totalement inoffensive à sa fabrication) isotherme, elle pourrait aussi garder au chaud ou au frais vos boissons préférées !
  • Boites : oui, pour les restes à mettre au frigo c’est vrai que c’était bien. Mais elles existent en verre, donc le choix est non négociable.
  • Emballages : votre choix doit d’abord aller vers le vrac, à remplir avec des sacs en papier ou tissus. Quand ça n’est pas le cas, punissez les industriels qui font la sourde oreille et ne choisissez que les produits emballés dans du carton. Pour les produits d’entretien, produits de beauté, retournez à la simplicité des ingrédients qui servent à tout : le vinaigre blanc par exemple, ok il est dans une bouteille en plastique (quel dommage) mais une seule bouteille pourra remplacer plusieurs produits ménagers (un pour le sol, un pour le four, un pour les vitres…) et votre porte-monnaie vous sourira !
Article écrit par Sylvie Fillot
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Fabriquez votre shampoing
Les produits d’hygiène du commerce contiennent des produits nocifs pour notre corps, pour les eaux usées… et aussi des emballages plastiques dont on se passe volontiers !
Mouillez vos cheveux, appliquez la mixture en massant bien le cuir chevelu, laissez poser quelques minutes, puis rincez.
La recette classique :
Un œuf (ou 2 si les cheveux sont longs) et une cuillère à café de miel.
Pour les cheveux secs, ajoutez une cuillère à soupe d’huile d’olive (ou pépin de raisin, ou jojoba…)
Pour les cheveux gras, ajoutez le jus d’un citron.
Voilà quelques ingrédients, à mixer selon ses besoins…
  • L’argile verte : absorbe le sébum des cheveux gras et la saleté, mélanger avec de l’eau et utiliser en pâte onctueuse.
  • Le miel : c’est un excellent tonifiant nettoyant hydratant, réparateur et régénérant mélangé à de l’eau tiède.
  • L’œuf : le jaune est composé de protéines, de vitamines (B5 et B6) il est nourrissant, fortifiant, il gaine le cheveu. le blanc absorbe la saleté et gaine aussi le cheveux.
  • Le yaourt nature : atténue intensément les démangeaisons du crâne et traite les pellicules.
  • L’huile de coco protège les cheveux, stimule la repousse et renforce les racines.
  • Le bicarbonate de soude assainit le cuir chevelu.
Aussi, le savon de Marseille rappé, l’aloe vera, le rhum, la bière, le vinaigre de cidre (rincer le bicarbonate avant d’en appliquer, pour éviter un bouillonnement !) … et bien d’autres ingrédients sont possibles !
Utilisez votre shampoing de suite, la plupart des ingrédients ne se gardent pas…
Pas le temps ? Préférez un Shampoing sec ! Appliquez du talc sur la racine des cheveux, laissez agir 2 minutes, éliminez avec une serviette et un brossage pour une chevelure légère.
Article écrit par Sylvie Fillot
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L’eau version écolo
Comme c’est facile de gaspiller l’eau ! Il faut maintenant changer nos habitudes.
voici quelques astuces pour y arriver !
  • Que vous soyez en train de vous raser, de vous laver les dents, de vous savonner sous la douche, fermez le robinet ! Utilisez un verre d’eau pour mieux se rendre compte des réels besoins pour se rincer la bouche.
  • Installez des réducteurs de débit à tous vos robinets et pommeau de douche.
  • Préférez les mitigeurs et laissez votre réglage préféré d’eau chaude en place pour gagner du temps !
  • Les WC : La plus grande des aberrations de gaspillage d’eau ! Si vous n’êtes pas trop toilettes sèches, mettez une bouteille pleine dans la cuve de la chasse d’eau pour prendre la place des litres utilisés inutilement.
  • Placez une bassine dans votre évier ou lavabo : lorsque vous rincez les légumes, une assiette, cette eau peut resservir ! pour laisser tremper la vaisselle très sale, ou arroser vos plantes ?
  • Attendez que votre lave-vaisselle ou lave-linge soit vraiment rempli avant de le mettre en marche.
  • Mettez en place la récupération de l’eau de pluie pour le jardin, la voiture, nettoyer les sols…
  • Au jardin, préférez le système goutte à goutte, ou l’arrosoir ? protégez votre terre de l’évaporation en la recouvrant.
  • Guettez les fuites d’eau ! non, elles ne viendront pas vous prévenir, quand on s’en aperçoit, c’est souvent après de lourdes pertes et des dégâts à réparer ! Régulièrement, fermez tous les robinets avant de vous coucher, notez le chiffre de votre compteur, et vérifiez qu’il n’a pas augmenté au matin !
  • Si vous êtes en phase de construction, pourquoi ne pas demander à votre plombier une astuce pour utiliser de l’eau pas forcément potable pour vos WC : l’eau savonneuse d’évacuation de la douche ? eau de pluie ? mais si ça existe ! Utiliser un réservoir d’eau pour recueillir l’eau usagée de sa douche (de son lavabo, ou de son lave-vaisselle) et s’en servir, via une pompe, pour tirer la chasse d’eau ! Si votre plombier ne vous croit pas, envoyez-lui ce lien, https://bit.ly/2GLfntm et dites lui d’être le premier à proposer cette mise en place astucieuse ! Faites-lui de la pub auprès de tous vos proches…
  • Imaginez que c’est votre boisson préférée, ou mieux votre argent qui coule de votre robinet, parfois directement vers l’évacuation.
L’eau va devenir rare, très précieuse ! habituez-vous dès maintenant à la considérer comme une chance !
Article écrit par Sylvie Fillot
Sources :
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Écomobilité en action
Quelles sont les actions à mettre en place pour limiter les émissions de gaz à effet de serre?
Voici quelques idées :
  • Vous allez au même endroit ? organisez vos covoiturages avec les voisins ou les collègues.
  • Partagez avec les autres parents les trajets des activités extra scolaires des enfants, chacun y gagne !
  • Avec les amis, n’utilisez qu’une seule voiture permet de passer plus de temps ensemble !
  • Regroupez les trajets en voiture : prenez vos rendez-vous au même moment de la journée quand c’est possible.
  • Décalez vos horaires de travail pour éviter de participer aux embouteillages, arrivez et partez plus tôt ou plus tard ! (montrez la “charte de l’écomobilité” à votre patron !)
  • Travaillez à la maison ! en plus d’être à son poste sans retard ni stress dus aux embouteillages, le télétravail permet plus de productivité (moins de conversations à la machine à café ?)
  • La climatisation augmente la consommation de carburant jusqu’à 35 % en ville et 20 % sur la route.
  • Ne chargez pas trop votre voiture : une voiture plus lourde consomme plus d’énergie.
  • Lavez votre voiture avec de l’eau provenant de la récupération d’eau de pluie ou préférez une bassine d’eau au jet d’eau.
  • Écoconduite : conduire en douceur permet de limiter la consommation de carburant jusqu’à 40 %
  • Évitez les démarrages à froid.
  • N’attendez pas trop longtemps avant de passer le rapport supérieur, pour éviter de rouler en surrégime.
  • Préférez le frein moteur à la pédale de frein.
  • Des pneus bien gonflés s’usent moins vite et consomment moins de carburant.
  • Une voiture bien réglée pollue moins : une vieille voiture nécessite tous les ans un réglage de l’allumage.
  • Choisissez une voiture hybride…
  • Adoptez le vélo, pourquoi pas la version électrique ?
  • Prenez le bus !
  • Partagez vos conseils !
Article écrit par Sylvie Fillot
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Insecticide et anti puces version naturelle
Connaissez-vous la terre de diatomé ?
Elle peut être utilisée dans bien des situations :
  • Dans la maison : saupoudrez le fond des placards, tous les accès à la maison : rails des baies vitrées, portes, fenêtres… la terre de diatomé tue les cafards, puces, puces rouges des poules, poux, tiques, punaises de lit, acariens, fourmis… la terre de diatomé est aussi efficace contre les larves non écloses.
  • Vos animaux domestiques pourront être protégés des puces et autres tiques, saupoudrez sur le pelage en caressant à rebrousse poil, et si votre animal se lèche et en ingère, tant mieux ! elle est également vermifuge. Pensez aussi à en mettre dans les endroits préférés des animaux.
  • Son pouvoir absorbant est pratique pour les litières, car elle absorbe aussi les odeurs.
  • Abrasif tout en finesse, cette poudre magique sert aussi à nettoyer l’argenterie, le cuivre, inox, en formant une pâte avec un peu d’eau !
Attention, la terre de diatomée calcinée, chauffée à plus de 1500°C, utilisée pour les piscines, (donc pas vendue aux mêmes endroits) est toxique : choisissez, “Amorphe” ou “non Calcinée” totalement naturelle, non-toxique, elle a gardé tous ses principes actifs !
Bien d’autres utilisations sont possibles, même pour notre santé ! la version “Alimentaire” riche en oligo-éléments promet beaucoup de bienfaits contre les carences alimentaires, et la silice a de nombreuses vertus pour les os, cartilages, articulations… affaire à suivre !
La terre de diatomée est vendue dans les magasins bio.
Article écrit par Sylvie Fillot
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Astuce pour un sol propre
Pour désinfecter un sol sans produits chimiques, sans ruiner votre santé, ni votre porte-monnaie.
Recette :
  • 2 cuillères à soupe de bicarbonate de soude
  • 2 cuillères à soupe de vinaigre blanc
  • 6 gouttes d’huiles essentielles de citron pour l’odeur et pour sa fonction purifiante
  • 5 litres d’eau chaude
Oui, votre bébé peut alors s’y trémousser sans vous faire paniquer !
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Laver à l’eau froide
L’utilisation d’électricité des machines à laver le linge se concentre surtout sur cette capacité à chauffer l’eau à 30, 40, 60 ou 90°… mais laver à 60°C consomme 1,3 kWh, à 40°C environ 0,7 kWh. À 30°C la consommation descend à 0,4 kWh… Les deux tiers de la consommation électrique des machines à laver le linge ou la vaisselle est lié au chauffage de l’eau.
Laver à 60°, en plus d’être cher en énergie, peut abîmer certains tissus qui vont vieillir plus vite et réduire leur durée de vie. De plus certaines tâches se fixent (tâches de sang) avec de l’eau trop chaude…
Il est 3 fois moins cher de laver à 30° qu’à 60°, selon les coûts de l’énergie alternative,..
Biensûr c’est rassurant de laver à 60° pour une hygiène parfaite, en cas de virus par exemple, ou des tâches importantes, parfois les 60° ne sont pas négociables…
Mais il y a peut-être d’autres moyens d’arriver au même objectif :
  • Certains modèles de machine à laver le linge ont une double connection d’arrivée d’eau chaude et froide. En Allemagne ou aux Etats Unis ce sont les plus courantes.
  • Des systèmes permettent d’utiliser une source d’eau chaude pour la machine à laver sans que celle-ci soit à double alimentation, avec un mitigeur et un thermostat.
  • Utilisez du percarbonate de soude : agent blanchissant, ravive les linges grisonnants ou jaunis, antibactérien, dégraissant, mais aussi détachant (tâches de vin, de sang, de graisse) il conjugue l’efficacité du cristal de soude et de l’oxygène actif. Le percarbonate est plus efficace à partir de 40°. Pour profiter de son effet et laver à froid, laisser tremper avant lavage dans une bassine mélangé à de l’eau chaude.
Le percarbonate est sans danger pour l’environnement.
Mais avec un PH élevé, il peut être irritant pour la peau et les yeux, et doit être manipulé avec des gants. Attention de ne pas respirer vapeurs avec de l’eau chaude car celles-ci peuvent irriter les voies respiratoires.
Article écrit par Sylvie Fillot
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Slow design
Le slow design est une nouvelle façon de penser sa décoration d’intérieur. Elle privilégie le respect de la nature et des humains, en les ramenant à des valeurs essentielles : vivre et surtout vivre sereinement.
L’objectif du slow design est de créer des objets en encourageant la diminution des ressources humaines, économiques, industrielles et urbaines.
Les piliers du slow design :
  • Elaboré à partir des techniques traditionnelles et ancestrales
  • Concevoir des produits capables de répondre à un vrai besoin et non à une mode
  • Des créations uniques ou développées en édition limitée
  • Utiliser des matériaux recyclés, récupérés ou upcyclés
  • Une technique de production peu ou pas polluante
  • L’objet devrait rester une création locale, ne pas parcourir des kilomètres, chers en énergie, et favoriser la proximité
Si le matériau est brut, le travail au niveau des lignes et des formes n’en reste pas moins très élaboré, produisant des meubles structurés et très esthétiques, avec un réel travail sur les couleurs et les patines, formant des nuanciers cohérents.
Piet Hein Eek est un designer d’origine néerlandaise s’est fait connaître en produisant la série de meubles Scrap Wood entièrement conçue en bois recyclé. Grâce à ses œuvres, le rebut, le réemploi du mobilier devient art. Les lattes de bois peint, vieilli sont revalorisées, sublimées.
Nina Raeber : fondatrice coll.part. elle transforme les sacs de riz en création originale (beauty case/ caddie….)
Les 5.5 designers: 3 jeunes designers qui recyclent les objets du quotidien à Paris…
Prêt à vous y mettre ? Vous participez peut-être déjà à ce mouvement : le magnifique fauteuil de l’arrière-grand-mère est dans votre salon ? Vous récupérez des meubles à retaper sur le bord de la route ?
L’ambition est simple et forte : Faire le maximum avec le minimum.
Article écrit par Sylvie Fillot
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Peinture à la farine
Les peintures industrielles ont fait beaucoup de progrès en réduisant considérablement les effets nocifs, mais pourquoi ne pas essayer une peinture économique faite avec des ingrédients naturels ?
 
Cette peinture à la farine s’applique sur du bois, neuf ou ancien, mais brut, sans ancienne peinture ou vernis, pour bien pénétrer le bois. Elle a plusieurs noms comme la peinture suédoise, au blé ou à l’ocre. Si elle est utilisée depuis des siècles, c’est pour ses qualités résistantes aux intempéries.
 
Les ingrédients pour la fabriquer :
Pour avoir 10 litres (et peindre 35m2)
  • 8 L d’eau
  • 700 g de farine de blé
  • 2.5 kg de terre colorante (ocre rouge ou ocre jaune) ou oxydes de fer
  • 250 g de sulfate de fer ( fongicide pour contrer l’humidité à l’extérieur, vous pouvez vous en passer pour l’intérieur.)
  • 1 L d’huile de lin
  • 100 ml de savon noir liquide (ou savon de Marseille liquide)
 
Ce sont ces pigments, surtout l’ocre, qui participe à la protection du bois face aux UV, et ses conséquences grisonnantes.
Vous pouvez repasser une couche (dans 5 à 10 ans) sans enlever la précédente couche de peinture à la farine. Vous pouvez changer de couleur, elle est très couvrante.
 
  • Portez à ébullition 7 L d’eau dans un récipient métallique.
  • Diluez la farine dans 1 L d’eau, et versez le mélange dans l’eau bouillante.
  • Laissez cuire 15 minutes tout en mélangeant avec une cuillère en bois.
  • Ajoutez les pigments ainsi que le sulfate de fer et continuez à mélanger pendant 15 minutes.
  • Ajoutez l’huile de lin, et mélangez encore 15 minutes.
  • Ajoutez enfin le savon liquide et… mélangez.
  • Retirez du feu et laissez refroidir.
 
Utilisez une brosse ou pinceau avec des poils naturels.
Vous pouvez diluer un petit peu avec de l’eau si la texture est trop épaisse. Mais attention à ne pas lui enlever son pouvoir couvrant.
Lors de la première application, les traces de pinceau seront évidentes. Pour enlever les marques, attendez que la peinture commence à sécher et lissez avec une éponge humide et propre.
 
Un pigment naturel est soit d’origine minérale soit d’origine organique. Les pigments les plus connus sont les Ocres, les Terres de Sienne et les Terres d’Ombre. Ces pigments minéraux sont extraits du sol, lavés puis rincés. Ils sont ensuite broyés, quelquefois calcinés.
Vous pourrez en trouver dans les grandes surfaces de bricolage, les vendeurs de matériaux écologiques ou les enseignes de loisirs créatifs.
Les ingrédients principaux étant naturels, vous pouvez quand même utiliser des pigments synthétiques, mais la résistance aux UV serait moindre, et votre bonne conscience aussi peut-être, quoique gratter l’ocre d’une montagne… à vous de choisir.
 
Article écrit par Sylvie Fillot
 
Sources :
Emballage Cadeau Respectueux de l’Environnement
Lorsque nous offrons des cadeaux, nous voulons que l’emballage soit aussi spécial que le présent lui-même. Malheureusement, les emballages cadeaux traditionnels sont souvent fabriqués à partir de matériaux non recyclables, ce qui entraîne une grande quantité de déchets. Heureusement, il existe de nombreuses alternatives écologiques pour emballer vos cadeaux de manière créative et respectueuse de l’environnement.
Voici quelques idées d’emballage cadeau écologique à considérer :
  • Utilisez du papier kraft recyclé : Le papier kraft recyclé est résistant et recyclable, ce qui en fait une option respectueuse de l’environnement.
  • Réutilisez des journaux et des magazines : Utilisez des journaux et des magazines pour emballer vos cadeaux, cela réduit les déchets générés.
  • Optez pour des tissus réutilisables : Les tissus réutilisables, tels que des foulards en coton, peuvent être utilisés pour envelopper vos cadeaux de manière élégante.
  • Choisissez des boîtes en carton recyclé : Les boîtes en carton recyclé sont robustes et recyclables, idéales pour des cadeaux de forme irrégulière ou fragiles.
  • Ajoutez des éléments naturels : Apportez une touche d’élégance à vos emballages en ajoutant des branches de sapin, des feuilles séchées ou des fleurs séchées.
En optant pour ces alternatives écologiques, vous contribuez à réduire les déchets générés par l’emballage des cadeaux, tout en ajoutant une touche d’originalité et de durabilité à vos présents. Mettez ces idées en pratique lors de votre prochain emballage cadeau et faites un geste pour l’environnement.
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Le compostage domestique
Réduire son empreinte écologique tout en enrichissant son jardin est possible grâce au compostage domestique. Cette activité simple et gratifiante permet de recycler les déchets organiques en un amendement fertile pour les plantes.
 
L’essentiel pour votre compost :
  • Optez pour un espace dédié dans votre jardin ou acquérez un composteur adapté.
  • Gardez vos épluchures de fruits et légumes, le marc de café et autres résidus de cuisine non carnés.
  • Ajoutez à cela les déchets verts issus de vos activités de jardinage, comme les feuilles mortes ou l’herbe coupée.
  • Ne négligez pas les apports en matières brunes : cartons coupés en morceaux, copeaux de bois ou feuilles sèches.
  • Utilisez un outil tel qu’une fourche pour aérer et mélanger le compost régulièrement.
 
Notions clés pour un compost de qualité :
  1. Alternez méthodiquement couches de matières humides et sèches pour un équilibre parfait.
  2. Intégrez vos déchets petit à petit, en prenant soin de les mélanger, pour oxygéner le tas de compost.
  3. Assurez-vous que le mélange conserve une humidité modérée, évitant le dessèchement ou l’excès d’eau.
  4. Remuez fréquemment votre compost pour stimuler la décomposition des déchets.
  Quelques mois suffisent pour que les déchets organiques se transforment en un compost sain pour l’enrichissement de votre jardin.  
À noter : Le compost est un allié de taille pour réguler naturellement l’humidité du sol et en améliorer la structure. Évitez d’y déposer des restes de viande pour prévenir la venue de ravageurs.
Finalement, en adoptant le compostage, nous participons activement au recyclage des matières organiques et nous favorisons un jardinage durable. Les déchets convertis en compost démontrent la valeur du renouvellement naturel et contribuent à un écosystème plus sain.
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Économie d’Énergie en Cuisine
La cuisine est le cœur de la maison, mais elle peut aussi être un lieu gourmand en énergie. Adopter des pratiques économes en énergie dans votre cuisine peut non seulement réduire vos factures, mais aussi contribuer à la préservation de l’environnement.
 
Voici quelques astuces pour une cuisine écoénergétique :
  • Choisissez des appareils économes en énergie : Optez pour des appareils électroménagers de classe d’efficacité énergétique “A”. Ils consomment moins d’électricité tout en maintenant des performances optimales.
  • Cuisinez avec des couvercles : Utilisez des couvercles sur vos casseroles et poêles pour retenir la chaleur, ce qui accélère le processus de cuisson et permet d’économiser de l’énergie.
  • Préférez les plaques de cuisson adaptées : Utilisez la taille appropriée de la plaque de cuisson en fonction de la taille de votre casserole. Une petite casserole sur une grande plaque gaspille de l’énergie.
  • Entretenez régulièrement vos appareils : Assurez-vous que vos appareils de cuisine, tels que le réfrigérateur et le four, sont régulièrement entretenus pour garantir leur efficacité énergétique.
  • Utilisez des ampoules LED : Remplacez les ampoules traditionnelles par des ampoules LED économes en énergie. Elles durent plus longtemps et consomment moins d’électricité.
 
En adoptant ces petites habitudes, vous pouvez non seulement réduire votre empreinte énergétique, mais aussi créer une cuisine plus durable et respectueuse de l’environnement. Ces ajustements simples peuvent faire une grande différence pour votre portefeuille et notre planète.
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Économies d’Eau sous la Douche
Prendre une douche est une partie essentielle de la routine quotidienne, mais cela peut également être une source importante de gaspillage d’eau. Adopter des habitudes économes en eau peut contribuer non seulement à la préservation de cette ressource précieuse, mais aussi à la réduction de votre facture d’eau.
 
Voici quelques astuces pour économiser de l’eau sous la douche :
  • Installez un pommeau de douche à faible débit : Optez pour un pommeau de douche économe en eau. Il réduit la consommation d’eau sans compromettre la pression ou la qualité de votre douche.
  • Prenez des douches plus courtes : Réduisez le temps passé sous la douche. Cela économise de l’eau et de l’énergie utilisée pour chauffer l’eau.
  • Éteignez l’eau pendant le savonnage : Fermez l’eau pendant que vous vous savonnez pour éviter un gaspillage inutile.
  • Collectez l’eau froide : Placez un seau sous le robinet pendant que l’eau chauffe. Utilisez cette eau pour arroser les plantes ou d’autres tâches ménagères.
  • Choisissez des pommes de douche écoénergétiques : Optez pour des modèles qui intègrent la technologie de recyclage d’eau pour maximiser l’efficacité.
 
En mettant en pratique ces conseils simples, vous pouvez non seulement contribuer à la préservation de l’eau, mais aussi faire un geste pour l’environnement. Des ajustements mineurs dans votre routine de douche peuvent avoir un impact significatif sur la conservation de cette ressource précieuse.
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Jardinières et Potagers en Intérieur
La création de jardinières et de potagers en intérieur est une façon charmante d’apporter la nature dans votre maison tout en cultivant des herbes fraîches, des légumes et même des fleurs.
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Que vous ayez un espace limité ou que vous souhaitiez simplement profiter de la verdure toute l’année, voici quelques conseils pour démarrer votre propre oasis intérieure :
  • Choisissez les bonnes plantes : Optez pour des plantes adaptées à la lumière disponible et à la température intérieure. Les herbes comme le basilic, la menthe et le romarin prospèrent souvent en intérieur.
  • Sélectionnez des contenants appropriés : Utilisez des pots avec des trous de drainage pour éviter l’accumulation d’eau. Assurez-vous que les contenants sont assez grands pour le développement des racines.
  • Privilégiez un bon terreau : Choisissez un terreau de qualité pour assurer une bonne rétention d’eau et des nutriments pour vos plantes en pot.
  • Placez les plantes près des fenêtres : Les plantes ont besoin de lumière. Placez-les près des fenêtres pour profiter de la lumière naturelle.
  • Arrosez avec modération : Surveillez l’humidité du sol et arrosez lorsque le dessus du sol est sec. Évitez les excès d’eau qui pourraient causer des problèmes racinaires.
 
La création d’un potager ou d’une jardinière en intérieur offre une source constante de fraîcheur et peut même améliorer votre bien-être général. Prenez le temps de cultiver votre propre petit coin de nature à l’intérieur de votre maison.
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Réduction de l’Utilisation du Papier Toilette
Adopter des pratiques plus durables dans notre vie quotidienne est essentiel pour réduire notre impact sur l’environnement. La réduction de l’utilisation du papier toilette est une démarche simple mais significative que chacun peut entreprendre.
 
Voici quelques conseils pour y parvenir :
  • Utilisez du papier toilette recyclé : Optez pour du papier toilette fabriqué à partir de matériaux recyclés pour réduire la demande en fibres vierges.
  • Privilégiez les marques éco-responsables : Choisissez des marques qui s’engagent à des pratiques durables et respectueuses de l’environnement.
  • Explorez les alternatives durables : Pensez à des solutions alternatives telles que les lingettes lavables, les bidets ou les douchettes pour réduire votre dépendance au papier toilette.
  • Optimisez l’utilisation : Utilisez seulement la quantité nécessaire de papier toilette. Souvent, une petite quantité suffit pour accomplir la tâche.
  • Adoptez des habitudes éco-conscientes : Sensibilisez-vous à votre consommation de papier toilette et prenez des mesures pour la réduire, contribuant ainsi à la préservation des ressources naturelles.
 
La réduction de l’utilisation du papier toilette n’est pas seulement bénéfique pour l’environnement, mais peut également représenter une économie financière à long terme. En adoptant des habitudes plus durables, nous pouvons tous jouer un rôle dans la préservation de notre planète.
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Éclairage LED
Opter pour des solutions d’éclairage plus durables est un moyen simple et efficace de contribuer à la préservation de l’environnement. L’éclairage LED, en particulier, offre des avantages significatifs sur le plan écologique.
 
Voici quelques raisons de passer à l’éclairage LED :
  • Économie d’énergie : Les ampoules LED consomment considérablement moins d’énergie que les ampoules traditionnelles, contribuant ainsi à la réduction de la consommation d’électricité.
  • Durabilité : Les LED ont une durée de vie beaucoup plus longue que les ampoules conventionnelles, réduisant ainsi la fréquence de remplacement et la production de déchets.
  • Sans mercure : Contrairement à certaines ampoules fluorescentes, les LED ne contiennent pas de mercure, évitant ainsi les risques de pollution environnementale.
  • Options de recyclage : De nombreuses ampoules LED sont recyclables, offrant une option plus respectueuse de l’environnement en fin de vie.
  • Éclairage directionnel : Les LED émettent leur lumière de manière directionnelle, réduisant la dispersion de la lumière et minimisant les pertes d’énergie inutiles.
 
L’éclairage LED n’est pas seulement une solution écologique, mais il offre également une qualité de lumière supérieure et une flexibilité accrue dans la conception d’éclairage. En faisant le choix des LED, vous contribuez à un avenir plus durable tout en bénéficiant d’une efficacité énergétique optimale.
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Thermostat Intelligent
Améliorer l’efficacité énergétique de votre maison est un moyen essentiel pour contribuer à la protection de l’environnement. Le thermostat intelligent représente une solution innovante pour optimiser la consommation d’énergie tout en assurant un confort thermique.
 
Voici quelques avantages du thermostat intelligent :
  • Régulation personnalisée : Le thermostat intelligent s’adapte automatiquement à vos habitudes de vie, optimisant la température intérieure en fonction de vos préférences et de la présence dans la maison.
  • Programmation flexible : Vous pouvez définir des programmes de chauffage personnalisés, évitant le gaspillage d’énergie lorsque vous n’êtes pas à la maison ou pendant la nuit.
  • Contrôle à distance : Accédez à votre thermostat depuis votre smartphone, vous permettant de réguler la température à distance et de réduire la consommation énergétique inutile.
  • Apprentissage automatique : Certains modèles de thermostats intelligents apprennent vos préférences au fil du temps, ajustant automatiquement les paramètres pour maximiser l’efficacité énergétique.
  • Économies d’énergie : En optimisant la gestion de la température, le thermostat intelligent peut contribuer à des économies significatives sur les coûts de chauffage et de climatisation.
 
Le thermostat intelligent n’est pas seulement une solution pratique, mais il représente également une étape vers une maison plus respectueuse de l’environnement. En adoptant cette technologie, vous pouvez jouer un rôle actif dans la réduction de votre empreinte carbone tout en bénéficiant d’un confort thermique optimal.
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Bacs de Recyclage
Intégrer le recyclage dans notre quotidien est crucial pour réduire notre empreinte environnementale. Les bacs de recyclage sont des outils essentiels pour faciliter ce processus et contribuer à la préservation des ressources naturelles.
 
Voici quelques conseils pour maximiser l’utilisation des bacs de recyclage :
  • Trier efficacement : Séparez correctement les différents matériaux recyclables tels que le papier, le plastique, le verre et le métal pour faciliter le processus de recyclage.
  • Utilisez des sacs recyclables : Optez pour des sacs recyclables ou réutilisables pour collecter et transporter vos déchets recyclables, réduisant ainsi l’utilisation de sacs en plastique jetables.
  • Compactez les matériaux recyclables : Écrasez ou découpez les matériaux recyclables volumineux pour optimiser l’espace dans votre bac de recyclage et réduire les trajets vers les centres de tri.
  • Nettoyez les contenants recyclables : Assurez-vous de rincer les contenants recyclables tels que les bouteilles en plastique ou les boîtes de conserve pour éviter la contamination des autres matériaux.
  • Sensibilisez votre entourage : Encouragez votre famille, vos amis et vos voisins à adopter des pratiques de recyclage responsables et à utiliser correctement les bacs de recyclage.
 
Les bacs de recyclage constituent une étape essentielle vers un mode de vie plus durable. En prenant conscience de l’importance du recyclage et en adoptant de bonnes pratiques, nous contribuons tous à la protection de notre environnement pour les générations futures.
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Repas sans Viande
Intégrer des repas sans viande dans notre alimentation quotidienne est bénéfique pour notre santé et pour l’environnement. En réduisant notre consommation de viande, nous contribuons à la réduction des émissions de gaz à effet de serre et à la préservation des ressources naturelles.
 
Voici quelques idées pour des repas sans viande :
  • Optez pour des protéines végétales : Remplacez la viande par des sources de protéines végétales telles que les légumineuses, le tofu, le tempeh ou les produits à base de seitan.
  • Explorez la cuisine internationale : Découvrez des recettes de cuisine du monde entier qui mettent en valeur les ingrédients végétaux et les épices pour des repas sans viande savoureux et variés.
  • Misez sur les légumes de saison : Utilisez les légumes de saison comme base de vos repas sans viande pour une alimentation équilibrée et respectueuse de l’environnement.
  • Préparez des plats complets : Élaborez des plats complets et équilibrés en associant des céréales, des légumes et des protéines végétales pour un repas riche en nutriments et en saveurs.
  • Variez les textures et les saveurs : Expérimentez avec différents types de cuisson, d’assaisonnements et de combinaisons d’ingrédients pour créer des repas sans viande riches en textures et en saveurs.
 
Les repas sans viande sont non seulement bons pour notre santé, mais aussi pour la planète. En incorporant davantage de repas sans viande dans notre alimentation, nous contribuons à la préservation de l’environnement tout en découvrant de nouvelles saveurs et en adoptant un mode de vie plus durable.
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Chargeur Solaire
L’utilisation de chargeurs solaires est un moyen efficace et écologique de recharger nos appareils électroniques tout en réduisant notre empreinte carbone. Ces chargeurs utilisent l’énergie solaire pour fournir de l’électricité propre et renouvelable, offrant ainsi une alternative durable aux sources d’énergie traditionnelles.
 
Voici quelques avantages des chargeurs solaires :
  • Énergie renouvelable : Les chargeurs solaires utilisent l’énergie du soleil, une ressource renouvelable et inépuisable, pour produire de l’électricité, réduisant ainsi notre dépendance aux combustibles fossiles.
  • Portable et pratique : Les chargeurs solaires sont compacts, légers et faciles à transporter, ce qui les rend idéaux pour une utilisation en déplacement, en camping, en randonnée ou en voyage.
  • Économique : Une fois acheté, un chargeur solaire ne nécessite aucun coût supplémentaire en électricité, ce qui permet de réaliser des économies à long terme sur les factures d’énergie.
  • Écologique : En utilisant l’énergie solaire, les chargeurs solaires ne produisent pas de pollution atmosphérique ni de gaz à effet de serre, contribuant ainsi à la préservation de l’environnement et à la lutte contre le changement climatique.
  • Facile à utiliser : Les chargeurs solaires sont simples à utiliser, il suffit de les exposer à la lumière du soleil pour commencer à recharger vos appareils électroniques, offrant une solution pratique et respectueuse de l’environnement.
 
En optant pour l’utilisation de chargeurs solaires, nous pouvons non seulement réduire notre empreinte carbone, mais aussi profiter des nombreux avantages qu’ils offrent en termes de praticité, d’économie et de durabilité. Ensemble, adoptons des solutions énergétiques plus respectueuses de l’environnement pour un avenir plus propre et plus durable.
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Éponges Naturelles
Les éponges naturelles sont des alternatives durables et écologiques aux éponges synthétiques traditionnelles. Fabriquées à partir de matériaux naturels comme le luffa, le sisal ou le konjac, ces éponges offrent une solution respectueuse de l’environnement pour nettoyer et entretenir votre maison.
 
Voici quelques avantages des éponges naturelles :
  • Biologiquement dégradables : Contrairement aux éponges synthétiques qui peuvent prendre des années à se décomposer, les éponges naturelles se dégradent naturellement une fois jetées, réduisant ainsi l’impact environnemental.
  • Matériaux renouvelables : Les éponges naturelles sont fabriquées à partir de matériaux renouvelables, comme le luffa et le sisal, ce qui les rend plus durables et respectueuses des ressources naturelles.
  • Nettoyage efficace : Les éponges naturelles ont une texture naturelle qui permet un nettoyage efficace des surfaces sans utiliser de produits chimiques agressifs, offrant ainsi une alternative saine pour votre maison et l’environnement.
  • Polyvalence d’utilisation : Les éponges naturelles peuvent être utilisées pour une variété de tâches ménagères, telles que le nettoyage des surfaces de cuisine, des salles de bains, des fenêtres et des planchers, les rendant polyvalentes et pratiques.
  • Économiques : Bien que les éponges naturelles puissent initialement coûter un peu plus cher que les éponges synthétiques, elles durent généralement plus longtemps et sont donc plus économiques à long terme, ce qui en fait un choix judicieux pour votre portefeuille et l’environnement.
 
En optant pour l’utilisation d’éponges naturelles, vous pouvez contribuer à réduire votre empreinte carbone tout en bénéficiant des nombreux avantages qu’elles offrent en termes de durabilité, de performance et de respect de l’environnement. Faites le choix d’une alternative écologique pour votre maison et pour la planète.
Isolation des Fenêtres avec des Rideaux Épais
Isolation des Fenêtres avec des Rideaux Épais
Améliorer l’efficacité énergétique de notre domicile est essentiel pour réduire notre empreinte écologique. Une méthode simple et efficace pour y parvenir est d’isoler nos fenêtres avec des rideaux épais.
 
Voici pourquoi cette astuce est bénéfique et comment la mettre en pratique :
  • Réduction des pertes de chaleur : Les fenêtres peuvent être une source majeure de déperdition de chaleur pendant les mois froids. En installant des rideaux épais, vous créez une barrière supplémentaire qui aide à retenir la chaleur à l’intérieur de votre maison, réduisant ainsi votre besoin de chauffage et vos factures d’énergie.
  • Protection contre la chaleur excessive : Pendant les mois chauds, les rideaux épais peuvent également aider à bloquer les rayons du soleil et la chaleur excessive, réduisant ainsi la nécessité de recourir à la climatisation.
  • Amélioration de l’isolation sonore : En plus d’offrir une isolation thermique, les rideaux épais peuvent également aider à réduire les bruits extérieurs, créant ainsi un environnement intérieur plus calme et paisible.
  • Création d’une ambiance chaleureuse : En plus de leurs avantages pratiques, les rideaux épais ajoutent une touche d’esthétique à votre espace de vie, créant une ambiance chaleureuse et accueillante.
 
L’isolation des fenêtres avec des rideaux épais est une solution écologique et économique pour améliorer le confort thermique de votre domicile tout en réduisant votre empreinte carbone. En adoptant cette pratique simple, vous contribuez à la préservation des ressources naturelles et à la lutte contre le changement climatique.
Recycler les Vieux Pneus
Recycler les Vieux Pneus
La gestion des pneus usagés est un défi environnemental majeur, mais il existe de nombreuses façons créatives et pratiques de leur donner une seconde vie, contribuant ainsi à réduire les déchets et à préserver l’environnement.
 
Voici quelques conseils pour recycler vos vieux pneus :
  • Créer des balançoires pour enfants : Transformez les vieux pneus en balançoires sécurisées pour les aires de jeux ou les jardins d’enfants.
  • Utiliser comme pots pour plantes : Remplissez les pneus avec du terreau et utilisez-les comme pots pour planter des fleurs, des herbes ou des légumes dans votre jardin.
  • Fabriquer des tables basses ou des tabourets : Empilez et assemblez plusieurs pneus pour créer des tables basses uniques ou des tabourets pour votre terrasse ou votre salon.
  • Construire des parterres surélevés : Empilez les pneus pour créer des parterres surélevés dans votre jardin, offrant un espace de plantation pratique et esthétique.
  • Utiliser comme obstacle d’entraînement sportif : Utilisez des pneus pour créer des obstacles d’entraînement pour des parcours d’obstacles ou des entraînements sportifs en plein air.
  • Fabriquer des ceintures de jardinage : Coupez les pneus en bandes pour créer des ceintures de jardinage durables et flexibles pour protéger les jeunes plants ou marquer les zones de plantation.
  • Transformer en sièges de balançoire : Coupez les pneus en deux et fixez-les solidement à des chaînes pour créer des sièges de balançoire confortables pour les enfants et les adultes.
  • Utiliser comme pare-chocs de bateau : Fixez les pneus usagés le long des quais ou des pontons pour servir de pare-chocs protecteurs pour les bateaux.
 
En recyclant vos vieux pneus de manière créative, vous contribuez à réduire les déchets et à préserver l’environnement tout en donnant une nouvelle vie à ces matériaux autrefois négligés.